La COP28, un échec annoncé ? Certains éléments invitent au pessimisme, avant même le début officiel de négociations qui tiennent de plus en plus du grand spectacle. Les vraies tractations, elles, sont ailleurs.
De ce double anniversaire ressort une impression commune : chaque fois un démarrage sur les chapeaux de roue, suivi d’un grippage du moteur et d’une désespérante course de lenteur…
Le succès diplomatique remporté lors de la COP21 peut-il devenir un succès environnemental ? 5 ans après la signature de l’Accord de Paris, les signaux sont pour le moins contradictoires.
Comment orienter les décisions quand les risques sont difficilement évaluables ? Une étude conduite pendant la COP21 de 2015 tente de répondre à la question.
Lors du dernier Forum économique mondial, les grandes entreprises semblent avoir pris conscience que les marchés, aujourd'hui défaillants, ne permettraient pas d'atteindre une croissance soutenable.
En marge des réponses technologiques et politiques, le changement des comportements est devenu un nouveau champ de solutions pour faire face aux dérèglements climatiques.
À Katowice, la COP24 s’est contentée de « sauver » (partiellement) l’accord de Paris, sans adapter ses ambitions à l’urgence climatique pointée par le GIEC en octobre.
Mauvaise surprise pour celles et ceux qui avaient pensé que le président français allait se dresser sur la route de l’Américain et défendre la lutte contre le climat : il a juste planté un chêne.
Attendu pour octobre 2018, le rapport des experts du climat sur l’objectif d’un maximum de 1,5 °C de réchauffement soulève de nombreuses questions, notamment sur le rôle des émissions négatives.
La diplomatie scientifique est celle où les intérêts de la science et ceux de la politique étrangère se conjuguent. Un exemple particulier est celui de la diplomatie du climat. Analyse de ses enjeux.
Cette année sera décisive pour les négociations climatiques avec la parution du nouveau rapport du GIEC à l’été et la tenue de la COP24 en Pologne en décembre prochain.
Le climat que les Terriens connaîtront vers 2050 sera largement déterminé par le cumul des émissions que nous avons déjà envoyé dans l’atmosphère. Étude de trois scénarios.
Le projet de pacte mondial pour l’environnement propose d’aller plus loin que l’Accord de Paris en matière de droit international de l’environnement, en consacrant le rôle des acteurs privés.
Arrêter de brûler charbon, pétrole et gaz naturel pour se tourner vers un développement économique « bas carbone », tel est le défi de la transition énergétique engagée ces dernières années.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne