Marian-Andrei Rizoiu, University of Technology Sydney and Philipp Schneider, EPFL – École Polytechnique Fédérale de Lausanne – Swiss Federal Institute of Technology in Lausanne
Une recherche démontre les avantages du délai de 24 heures accordé aux plates-formes pour retirer un contenu haineux prévu dans le récent « Digital Services Act » européen.
L’augmentation de la désinformation sur X est notamment attribuable à une stratégie d’Elon Musk qui vise à museler les chercheurs qui tentent de l’étaler au grand jour.
La lutte contre la désinformation représente ainsi un coût important et se heurte aux contraintes des modèles économiques. Les pouvoirs publics sont ainsi appelés à se mobiliser davantage.
Le numérique transforme la façon dont les enseignants abordent l’histoire de la Shoah avec leurs élèves. Éclairages en cette Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste.
Le projet du patron de Tesla pour le réseau social qu’il vient de racheter pourrait entrer en contradiction avec la nouvelle réglementation des services numériques européenne.
La hantise et l’obsession pour l’effondrement civilisationnel et écologique ont vu l’émergence d’une multitude de groupes survivalistes d’extrême droite.
Si la définition de la haine est stable au cours de l’histoire, son expression et sa considération sociale évoluent en fonction des technologies et des contextes.
Eric Zemmour a souvent été accusé de propager des discours intolérants : il est important de comprendre quels sont les processus par lesquels ils se sont imposés dans le débat.
Justin Trudeau a la réputation d’être un progressiste à l’extérieur du Canada. Mais il est méprisé par certains Canadiens de droite – et il a été confronté à l’hostilité durant sa campagne.
La propagation des messages toxiques est un grave problème sur Internet, qui a d’abord été imaginé pour s’exprimer librement, mais qui a ouvert la porte aux commentaires agressifs et violents.
Pour en finir avec la haine en ligne, la réponse ne peut venir du seul terrain démocratique. Il faut s’attaquer au fonctionnement technique des réseaux et à l’opacité des algorithmes.
Les réseaux sociaux tiennent manifestement à donner des gages de bonne volonté pour contrebalancer les effets d’une des faces les plus hideuses du cyberespace. En sont-ils seulement capables ?
La proposition de loi sur la « cyberhaine » se propose de discipliner les réseaux sociaux. Son contenu, au stade actuel du débat, suscite le doute sur son aptitude à remplir cette fonction.
Au cœur des manifestations émotives, les discours de haine prolifèrent sur Internet : insultes, menaces, injures, rien ne semble retenir certains. Que faire ?
La cyberviolence verbale, qui est la forme de violence la plus répandue au sein du web et des réseaux sociaux, peut être combattue de différentes manières.
Comment réagir face au cyber harcèlement ? Présentation d’un modèle d’origine canadienne : « se préparer à la lutte contre la propagande dans les médias sociaux ».
Sur les réseaux sociaux, faut-il réguler les propos incitant à la haine ou préserver la liberté d’expression ? La résolution de ce débat nécessite l’implication des géants du numérique et des États.
Assistant Professor, Educational Technology, Chair in Educational Leadership in the Innovative Pedagogical Practices in Digital Contexts - National Bank, Université Laval