L’impact environnemental des nouveaux modes de consommation collaborative est une question complexe dont la réponse n’est ni évidente, ni systématiquement positive.
De récentes études révèlent que l’impact environnemental des pistes désaffectées est plus limité que prévu, mais indiquent aussi que la production de biomasse demeure affectée pour longtemps.
Les Seychelles, un des champions de l’économie bleue.
flickr
Le gaz de schiste est présenté par certains économistes comme une manne miraculeuse boudée par les obscurantistes, tandis que certains écologistes y voient une menace de catastrophes. Analyse à froid.
Les sols des pâturages se distinguent par leur richesse.
Caroline Duncan/AAP
Consommer de la viande rime avec émissions de gaz à effet de serre. Mais les émissions provenant de cultures ont été largement sous-estimées, révèle une nouvelle étude sur la qualité des sols.
Jean-Luc Chotte, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Augmenter la capacité de stockage en carbone des sols, une piste prometteuse pour lutter contre le changement climatique.
Vue sur la forêt tropicale humide de la Montagne d’ambre dans le nord de Madagascar. Cette forêt pourrait être fortement impactée par le changement climatique.
G. Vieilledent/Cirad
Depuis une quinzaine d’années, les milliers de sondes du réseau global Argo scrutent les océans et fournissent à la communauté scientifique mondiale des milliers d’informations précieuses.
Carte interactive des émissions mondiales de 1750 à 2010.
Aurelien Saussay
Une carte interactive des émissions mondiales de CO2, de 1750 à 2010, permet de mieux comprendre les responsabilités historiques des différentes régions du globe dans la crise climatique.
Réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2050, un des enjeux majeurs de la COP21.
COP Paris/flickr
Contrairement à ce qu’avance Jean Tirole, l’instauration d’un marché mondial des permis carbone ne suffira pas à réduire rapidement les émissions de gaz à effet de serre qui perturbent le climat.
Laurent Fabius, le président de la COP21, très ému lors de la présentation du texte de l’accord de Paris sur le climat, le samedi 12 décembre 2015 au Bourget.
Arnaud Bouissou/MEDDE/SG COP21/flickr
Réduire les émissions de gaz à effet de serre, augmenter la part des énergies renouvelables et diminuer le niveau de la consommation d’énergie, tel est le programme de la transition énergétique.
Laurent Fabius se voit remettre, samedi 5 décembre, le brouillon de compromis, base du futur accord pour le climat.
L’ancien directeur de l’Institut Goddard des études spatiales de la Nasa détaille dans une interview à The Conversation ses propositions choc pour faire face au changement climatique.
À Bhadla, dans l’État du Rajasthan, un impressionnant déploiement de panneaux solaires. Le gouvernement indien compte sur cette énergie pour donner accès à l’électricité au plus grand nombre.
Money Sharma/AFP
Ben Parr, The University of Melbourne e Don Henry, The University of Melbourne
Pour réaliser son ambitieux programme de développement des énergies renouvelables, solaire en tête, l’Inde a besoin du soutien des pays les plus industrialisés.
Jean Tirole, Toulouse School of Economics – École d'Économie de Toulouse e Christian Gollier, Toulouse School of Economics – École d'Économie de Toulouse
Il faut s’attaquer au défi climatique en utilisant des outils économiques et élaborer un système cohérent de tarification carbone.
La Russie possède beaucoup de gaz, mais a besoin d’autant de chaleur.
Ilya Naymushin/Reuters
Comment fonctionne ce système qui permet aux particuliers, aux administrations et aux entreprises de compenser leurs émissions de gaz à effet de serre en acquérant des « crédits carbones » ?