Des recherches ont montré qu’une diminution du volume de l’hippocampe précède les signes de déclin cognitif chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
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Cette étude montre qu’au moins deux mécanismes différents conduisent au déclin cognitif, tant chez les personnes en bonne santé que chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
Lorsqu’un locuteur en bonne santé ne parvient pas à trouver un mot de son lexique qu’il a l’impression de connaître, les spécialistes du langage parlent du phénomène du « mot sur le bout de la langue ».
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Nous avons tous déjà oublié le mot dont nous avions besoin au milieu d’une phrase, et nous connaissons la sensation de l’avoir sur le bout de la langue. Mais quand est-ce que l’on doit s’inquiéter ?
Le manque de sommeil ou sa mauvaise qualité font parties des facteurs de risque de développer la maladie d'Alzheimer. Heureusement, il y a des méthodes pour améliorer son sommeil.
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Le sommeil semble jouer un rôle essentiel dans plusieurs fonctions cérébrales, comme la mémoire. Un sommeil de bonne qualité pourrait donc jouer un rôle primordial dans la prévention de la démence.
Changer son mode de vie peut être la meilleure façon de retarder l’apparition de la démence ou de ne pas la développer du tout.
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Les risques de démence liés au mode de vie sont complexes. Des facteurs tels que le sommeil, l’exercice et l’alimentation interagissent avec la réserve cognitive, la neuroplasticité et l’inflammation.
Est-ce que le simple fait d'être en contact avec de l'art a des effets spécifiques ?
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Une visite au musée pour lutter contre la grisaille mentale ? Voici ce qu’en dit la science.
Des changements de comportement tels que l’apathie, la difficulté à maîtriser ses pulsions ou une attitude socialement inappropriée peuvent indiquer un risque de démence chez les personnes âgées de plus de 50 ans.
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La démence ne se manifeste pas uniquement par des troubles de la mémoire. Les personnes qui en sont atteintes peuvent également présenter des problèmes d’apprentissage, de compréhension et de jugement, mais aussi des changements de comportement.
Les méthodes expérimentales à notre disposition aujourd’hui permettent ni plus ni moins de « déconstruire » le cerveau en ses composantes élémentaires afin d’en comprendre les fonctions et les dysfonctions.
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À Montréal se trouve l’une des plus importantes banques de cerveaux au monde, la Banque de cerveaux Douglas-Bell Canada. Elle permet des découvertes sur différentes maladies neurologiques et psychiatriques.
Les notaires pourraient bientôt avoir un rôle à jouer dans les demandes anticipées d'aide médicale à mourir anticipée. Mais sont-ils prêts?
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Une formation avec des professionnels de la santé pourrait permettre aux notaires de prodiguer des conseils éclairés à leurs clients et d’être plus à l’aise dans la planification anticipée de l’AMM.
Les facteurs de risque modifiables de la démence sont l'hypertension artérielle, l'obésité, la sédentarité, le diabète, le tabagisme, la consommation excessive d'alcool et le manque de contacts sociaux.
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En encourageant les gens à être physiquement, mentalement et socialement actifs, nous pouvons potentiellement prévenir un nombre important de cas de démence.
Le lecanemab est un anticorps qui s’attache aux protéines bêta-amyloïde accumulées dans le cerveau et permettrait au système immunitaire de s’en débarrasser.
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Un traitement de 18 mois au lecanemab ralentit de 27 % la perte fonctionnelle et cognitive chez des personnes atteintes de maladie d’Alzheimer légère. Mais ce n’est que le premier pas vers une véritable cure.
Le diabète de type 2, caractérisé aux stades avancés par une résistance à l’insuline, constitue un facteur de risque important de l’Alzheimer.
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L’altération des récepteurs de l’insuline au niveau des vaisseaux sanguins entre le sang et le cerveau, contribuerait à la résistance à l’insuline observée dans l’Alzheimer.
Faire régulièrement de mauvais rêves et des cauchemars à un âge moyen et avancé peut être lié à un risque accru de développer une démence plus tard dans la vie.
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Une nouvelle étude révèle que les personnes d’âge moyen qui font des cauchemars chaque semaine sont quatre fois plus susceptibles de connaître un déclin cognitif.
L’excès d’amyloïde bêta dans le cerveau a longtemps été considéré comme la cause principale de la maladie d’Alzheimer. De nouvelles recherches semblent suggérer le contraire.
Une nouvelle étude confirme que marcher environ huit kilomètres (ou 10 000 pas) par jour permet de prévenir de manière optimale le cancer, la démence et les maladies cardiovasculaires.
Une nouvelle théorie sur la maladie d’Alzheimer reconsidère le rôle de la bêta-amyloïde dans le cerveau.
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La maladie d’Alzheimer n’est peut-être pas principalement une maladie du cerveau. Il pourrait s’agir d’un trouble du système immunitaire à l’intérieur du cerveau.
La plupart des gens ont du mal à se concentrer après une mauvaise nuit de sommeil.
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Tant l’excès que le manque de sommeil peuvent perturber notre cognition.
Illustration en 3D de plaques amyloïdes se formant entre les neurones.On a longtemps cru que ces dépôts provoquaient la démence liée à la maladie d'Alzheimer, mais de nouvelles études commencent à en douter.
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Les dépôts de protéines sont tenus pour responsables de la maladie d’Alzheimer, mais les médicaments qui les ciblent échouent. Nous devons orienter les recherches vers les premiers stades de la maladie.
Il est normal de dormir davantage en journée quand on vieillit, mais dans une certaine mesure seulement.
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L’augmentation de la durée des siestes prolongées fait partie du processus normal du vieillissement. Cependant, des siestes trop longues pourraient être signe de déclin cognitif.
Le flux sanguin parcourt notre cerveau à travers un arbre vasculaire cérébral, depuis le tronc jusqu’aux capillaires. Une technique d’imagerie pourrait permettre de voir avec précision la circulation sanguine et de ce fait, détecter les signes de démence.
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Une technique d’imagerie en développement pourrait permettre de voir avec précision la circulation sanguine au cerveau et détecter les signes de démence avant l’apparition des premiers symptômes.
Une résidente de 84 ans profite de la balançoire sur la place centrale du Village landais, le 9 septembre 2020.
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En mars 2020 ouvrait dans les Landes le premier village dédié aux malades d’Alzheimer. Une approche en rupture, qui vise à moins médicaliser et mieux intégrer les quelque 120 résidents.
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Chef de service à l'hôpital gériatrique universitaire Charles Foix (Ivry-sur-Seine) - Professeur de gériatrie à la Faculté de Médecine Sorbonne (Paris), AP-HP