Le vote blanc n'est toujours pas comptabilisé dans les suffrages exprimés alors que les citoyens sont de plus en plus nombreux à y recourir. Le Président Macron a pourtant exclut toute réforme.
Un sadhu revient du bain sacré le jour du ‘Basant Panchami’ le 10 février à Allahabad.
Xavier Galiana / AFP
900 millions Indiens s'apprêtent à voter : dans ce quie s'annonce une véritable bataille pour la démocratie, le gouvernement sortant compte sur les alliés religieux les plus insolites.
Vue de l'hémicycle, le 29 janvier 2019.
Philippe Lopez / AFP
Si le « tout proportionnelle » a contribué à enliser la IVᵉ République, on peut aussi bien dire que le « tout majoritaire » asphyxie la Vᵉ.
Au Brésil, la Banque de développement allemande expérimente un système fondé sur la blockchain pour coordonner les flux de fonds des organismes d’aide.
Donatas Dabravolskas / Shutterstock
Garantie des droits de propriété ou de prêts bancaires, assurances, certification des votes… Les blockchains permettraient de résoudre un certain nombre de problèmes dans les pays en développement.
Au Mans, le 4 décembre 2018.
Jean-François Monier / AFP
On assiste à la recherche d’une nouvelle forme de gouvernance permettant de créer un lien direct entre le niveau individuel et collectif en évinçant les formes intermédiaires de la démocratie par représentation.
Réunion de militants du FLNKS (pour l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie). Malgré le ‘non’ exprimé lors de ce premier référendum, la lutte des kanaks ressort renforcée et déterminée à aller jusqu'au bout du processus de Nouméa.
Theo Rouby / AFP.
Théo Rouby/AFP
Sarah Mohamed-Gaillard, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Au-delà des 56,70 % des voix obtenues par le non à l’indépendance en Nouvelle-Calédonie, ce scrutin relance la réflexion quant au processus permettant la décolonisation d’une société.
Le vote du 4 novembre intervient trente ans après la signature des accords de Matignon.
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La présence française apparaît désormais souhaitable aux yeux des États du Pacifique, notamment pour l’Australie, pour contrebalancer une Chine qui monte en puissance.
L’opacité, ce sont des questions sans réponse ! Se taire et voter c’est un devoir en démocratie ?
La candidate amérindienne Deb Haaland qui postule à un siège au Congrès, ici en campagne le 1er octobre, à Albuquerque (Nouveau-Mexique).
Mark Ralston/AFP
Il se passe quelque chose aux États-Unis : les femmes se sont massivement mobilisées lors des primaires précédant les élections de mi-mandat et nombre d’entre elles pourraient être élues.
La psychologie scientifique est utile à l’analyse des comportements et des votes, au-delà des intuitions vagues des essayistes. Dommage qu’elle soit peu enseignée en France.
Deux dirigeants de l'AfD en discussion (Joerg Meuthen, à gauche, et Andre Poggenburg), lors du Congrès de l'AfD, le 2 décembre, à Hanovre.
Tobias Schwarz/AFP
Implanté dans tout le pays, attirant un électorat urbain et éduqué, ce parti situé à droite de la droite est différent de l’extrême droite classique. Et s’inscrit dans la durée.
A Madrid, le 7 octobre, une manifestation en faveur du dialogue.
Gabriel Bouys / AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Deux légitimités s’affrontent dans ces expériences : celle d’un État, de l’ordre, de la légalité, et celle d’une nation minoritaire qui tente d’être reconnue et de se doter d’un État.
Dans un bureau de vote à Vertou, dans l'ouest de la France, le 11 juin 2017.
Loïc Venance/AFP
Ce dimanche, le pic de 51,3 % pourrait bien être encore battu au second tour de la législative. Il il est urgent d’explorer des pistes institutionnelles et plus pratiques pour réduire son poids.
Le Président Macron, dimanche 11 juin, à la sortie de son domicile du Touquet.
Philippe Huguen / AFP
En atomisant les formations traditionnelles, Emmanuel Macron peut faire de La République en marche ! un axe central et durable de la vie politique, et rebâtir ainsi durablement l’échiquier partisan.
Dans un bureau de vote, à Bordeaux, le 23 avril 2017.
Xavier Buaillon/Flickr
Jamais le vote blanc et nul n’aura été autant évoqué lors d’une présidentielle, et pourtant il est peu entendu. Présentation d’une étude inédite menée au lendemain du premier tour.
L'élection de 2017 aura connu un pic de votes blancs et nuls.
Damien Meyer / AFP
En ajoutant un taux d’abstention dépassant les 25 %, c’est plus d’un électeur inscrit sur trois qui n’a voulu ou tout simplement su, le 7 mai 2017, transformer sa voix en « suffrage exprimé ».
Les bulletins blancs ou nuls devraient orienter ce 7 mai, d’une manière tout à fait inédite dans l’histoire du vote en France, les résultats du scrutin.