Le Parlement Européen tâche de se doter d'une politiques ambitieuses en matière de réparation des objets. Mais pour que celle-ci se généralise, il faut encore que cette action soit économiquement viable.
L’électronique pèse lourd dans nos émissions de carbone et nos déchets. Quelles sont les voies pour diminuer l’impact de cette industrie cruciale pour la transition écologique ?
Les marques ont-elles intérêt réellement à proposer des produits aisément réparables et communiquer à ce sujet ? Le consommateur risque en effet de l’interpréter comme un manque de fiabilité.
L’empreinte carbone associée à l’utilisation des services numériques est dominée par la fabrication des appareils électroniques. À l’approche de Noël, une prise de conscience s’impose.
D’où viennent les pannes de nos appareils électroniques ? Sont-ils réparables ? Retour sur les différents types d’obsolescence et les outils législatifs pour contenir les abus.
Des associations ou des marques prennent le contre-pied des enseignes qui proposent des promotions le 29 novembre pour dénoncer une « journée infernale de surconsommation ».
Les Français sont aujourd’hui davantage prêts à la sobriété énergétique qu’à la réduction de leur consommation d’objets. Les auteurs du livre « Du gaspillage à la sobriété » expliquent pourquoi.
Depuis dix ans, la collecte et le traitement des déchets ont évolué favorablement. Mais l’éco-conception, qui consiste à élaborer des produits plus durables et recyclables, peine encore à s’imposer.
Contrairement à une idée assez répandue, la consommation collaborative n’est pas toujours vertueuse sur le plan environnemental. C’est ce que révèle une étude de l’Ademe publiée aujourd’hui.
Le succès d’estime du téléphone Fairphone peine à masquer la difficile percée des matériels éthiques et durables sur le gigantesque marché de la téléphonie mobile mondiale.
La décision de la Suède en faveur de la réparation est le signal le plus récent d’une lutte contre l’obsolescence programmée qui s’organise au sein de l’Union européenne.