Après une rupture du ligament croisé, que l'on opte pour la chirurgie ou pour une rééducation du genou sans passer par l'opération, la reprise de l'activité physique reste très longue.
Pour les greffes de peau, la xénotransplantation pourraient permettre de soigner même les patients chez qui l'on ne peut pas prélever de peau saine.
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Si la xénotransplantation s’est récemment développée avec des greffes de cœurs ou de reins porcins, la chirurgie reconstructive espère aussi utiliser de la peau animale pour soigner les plaies les plus graves.
La chimiothérapie est utilisée comme traitement à tous les patients atteints d'un cancer du poumon. Or, plusieurs n'auraient pas besoin d'un traitement aussi invasif si les diagnostics sur les risques de récidive étaient plus raffinés. Une nouvelle technologie pourrait changer la donne.
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Le traitement pour les patients atteints d’un cancer du poumon est le même pour tous, indépendamment des risques de récidive. L’utilisation d’une nouvelle technologie pourrait raffiner le diagnostic.
Depuis quelques années, il est possible d'avoir recours à une chirurgie qui permet de remplacer le cristallin, lentille naturelle de l'oeil, par un implant.
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Il est possible d’avoir recours à une chirurgie qui permet de remplacer le cristallin, lentille naturelle de l’œil, par un implant – sans avoir de cataracte. Et elle n’est pas sans risque.
Les médecins ne sont pas nécessairement de bons vulgarisateurs ou n’ont pas toujours le temps d’expliquer tout dans les moindres détails.
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Le développement des compétences en littératie médicale permet aux patients de prendre des décisions plus réfléchies par rapport à leur propre santé. Mais un accompagnement adéquat est nécessaire.
Il n'est pas rare, après une chirurgie bariatrique, qu'une personne ait un surplus de peau. Cela peut occasionner plusieurs problèmes physiologiques et psycholoqiques.
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Shaina Gabriel, Université du Québec en Outaouais (UQO); Annie Aimé, Université du Québec en Outaouais (UQO) et Aurelie Baillot, Université du Québec en Outaouais (UQO)
Le surplus de peau est associé à des problèmes psychologiques, physiques et fonctionnels. Il est donc important d’en parler, et d’offrir plus de soutien et d’information aux patients.
Sur cette illustration de l’époque victorienne, un homme est en train d'être réanimé.
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Faouzi Bensebaa, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières et Joan Le Goff, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
L’ouvrage « Miroir, mon beau miroir… le marché de la beauté sans fard », dont nous vous présentons les bonnes feuilles, explore ce secteur peu commun.
Inflammation, prolifération et remodelage : les différentes étapes de la guérison d’une blessure peuvent influer sur l’apparence des cicatrices.
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Trop de patients meurent, chaque année, faute d’avoir pu bénéficier d’une greffe du foie. Mais… et si l’on pouvait améliorer les capacités de régénération de cet organe ? Une approche pleine d’avenir.
Se réveiller en cours d'anesthésie est une crainte partagée par beaucoup de personnes devant se faire opérer.
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Le risque de réveil en cours d’opération est faible, mais réel. Une interface cerveau-ordinateur innovante pourrait améliorer le suivi de l’anesthésie afin d’éviter cette expérience angoissante.
La chirurgie prophylactique peut être le seul moyen de se prémunir d'un cancer.
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Comment réagir quand on se découvre un risque de développer un cancer – dans 5 ou 10 ans ? Se faire ôter par chirurgie l’organe vulnérable est une option dont il est dur de peser le pour et le contre.
Dans le cadre d’une intervention assistée d’un robot, la communication verbale n’est pas possible entre le chirurgien et le reste de l’équipe.
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Une analyse comparée des opérations sous hypnose et assistées par robot montre que ces nouvelles pratiques, loin d’isoler les praticiens, nécessitent de renforcer le collectif.
Ressouder des os, réparer de la peau, oui. Mais reconstituer une jambe entière est de portée de notre espèce.
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Pieter Vancamp, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Contrairement aux idées reçues, notre corps est capable de se régénérer - en partie. Quelles sont ses limites… et quelles leçons tirer des animaux qui font mieux que nous pour la médecine de demain ?
Combien d'animaux peut-on sacrifier pour sauver un humain ?
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Début 2022, un homme s’est fait transplanter un cœur de cochon. L’opération est un succès mais pose de sérieux problèmes éthiques. Doit-on sacrifier des animaux pour sauver des humains ?
L’équipe de l’école de médecine de l'université du Maryland, à Baltimore (États-Unis), implante un cœur de cochon génétiquement dans la poitrine de David Bennett, 57 ans.
École de médecine de l'université du Maryland
La greffe d’un cœur de cochon dans une poitrine humaine est une prouesse biomédicale. Mais ce geste qui brouille les limites interespèces pose la question de l’accompagnement éthique des innovations.
Un chirurgien de l’école de médecine de l'université du Maryland, à Baltimore (États-Unis), présente le cœur génétiquement modifié qui sera greffé à David Bennett.
École de médecine de l'université du Maryland
Le 7 janvier dernier, l’Américain David Bennet s’est vu greffer un cœur de porc génétiquement modifié. Chef du service de chirurgie cardiaque à l'hôpital Bichat, Patrick Nataf analyse cette prouesse.
Maillage synthétique t utilisé pour la réparation de l'hernie ingulaire.
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Les hernies sont des pathologies communes, représentant plus de 100 000 opérations par an en France. Mieux les comprendre et éviter les récidives est donc primordial.
Un jumeau numérique est le double virtuel d'un système complexe. Cet outil numérique, entre simulation et modélisation, permet d'appréhender des conditions complexes ou inhabituelles.
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Sandra Bertezene, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Des doubles virtuels d’organes existent déjà pour mieux préparer les soins. Les simulations de services hospitaliers commencent également à se développer, notamment pour la formation.
Le cerveau ne possède pas de récepteurs à la douleur.
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Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Honorary Enterprise Professor, School of Population and Global Health, and Department of General Practice and Primary Care, The University of Melbourne