Usines énergétiques de nos cellules, les mitochondries sont au carrefour de nombreux processus essentiels. Leur dysfonctionnement peut entraîner des maladies neurodégénératives.
On pensait jusqu’à présent que le cerveau était stérile, préservé des micro-organismes par la barrière hématoencéphalique. Mais des travaux menés ces dernières années sèment le doute…
Cette étude montre qu’au moins deux mécanismes différents conduisent au déclin cognitif, tant chez les personnes en bonne santé que chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
Une nouvelle étude montre qu’il est possible de réduire les symptômes de la sclérose latérale amyotrophique en diminuant l’inflammation engendrée par les cellules immunitaires dans le cerveau.
À Montréal se trouve l’une des plus importantes banques de cerveaux au monde, la Banque de cerveaux Douglas-Bell Canada. Elle permet des découvertes sur différentes maladies neurologiques et psychiatriques.
Les préoccupations raisonnables que peut susciter la mise en œuvre d’un régime de demandes anticipées ne doivent pas conduire à son rejet catégorique, mais plutôt à son encadrement rigoureux.
Suivre un traitement long en cas de maladie chronique est difficile, et ce n’est pas une question de volonté. Voici les phénomènes neurologiques impliqués… et comment lutter contre le phénomène.
L’épuisement que les aidants de malades d’Alzheimer vivent au quotidien est souvent minoré par les termes utilisés, masquant les enjeux dramatiques qu’implique ce statut.
Malgré un siècle d’étude, la maladie d’Alzheimer reste mal comprise et sans solution thérapeutique. Une nouvelle piste, étudiant le déséquilibre cellulaire de métaux (tel le cuivre), est prometteuse.
L’excès d’amyloïde bêta dans le cerveau a longtemps été considéré comme la cause principale de la maladie d’Alzheimer. De nouvelles recherches semblent suggérer le contraire.
Les dépôts de protéines sont tenus pour responsables de la maladie d’Alzheimer, mais les médicaments qui les ciblent échouent. Nous devons orienter les recherches vers les premiers stades de la maladie.
La dépression reste mal comprise, malgré les avancées diagnostiques et thérapeutiques. Bien des cas restent encore sans traitement. La découverte du rôle de l'inflammation ouvre des pistes inédites.
Les personnes les plus actives présentaient des niveaux d’inflammation plus faibles dans leur cerveau, ce qui les protège de maladies neurodégénératives.
Les origines de la sclérose latérale amyotrophique, maladie qui s’attaque aux neurones moteurs, sont encore mal connues et son pronostic demeure très sombre. Mais des pistes thérapeutiques existent.
En dépit de leur forte teneur en graisses, et à condition de ne pas en abuser, les fruits à coque ne font pas grossir. Mais surtout, s’agissant de notre santé, ils ont bien des atouts…
Ahlem Zaghmi, Institut national de la recherche scientifique (INRS) et Marc A Gauthier, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Un nouveau traitement pourrait permettre de préserver les capacités motrices des patients qui ont subi un AVC. Il pourrait changer les stratégies médicales pour d’autres maladies neurodégénératives.
Les capacités uniques du cerveau humain sont à l’origine de la réussite évolutive de notre espèce. Comment prendre soin de cet organe essentiel ? Peut-on améliorer ses performances ?
Maître de conférences en Neurosciences, UMR iBrain, imagerie et cerveau, univ-Tours/INSERM, laboratoire de psychiatrie neuro-fonctionnelle, Tours, France, Université de Tours