Dans un marché commun où les capitaux sont mobiles, ne pas avoir de règles communes de fiscalité génère une concurrence entre partenaires. Des revenus sont pourtant recherchés en parallèle.
On observe généralement en période de crise une hausse qui peut sembler paradoxale des dépenses en produit de beauté. Le phénomène a toutefois pris un tour nouveau pendant le Covid.
Le contexte mais aussi les problèmes structurels de la péninsule enrayent le plan de relance pour lequel Bruxelles a déjà gelé le versement de la prochaine tranche.
Ce principe, théorisé par l’économiste britannique William Stanley Jevons en 1865, se concrétise aujourd’hui dans des secteurs comme le transport aérien ou le numérique.
Relancer le secteur pour qu’il retrouve une dynamique de croissance ou bien saisir l’opportunité offerte par la crise pour le repenser autrement, à partir de concepts économiques hétérodoxes ?
Selon les estimations du Cepremap, les politiques macroéconomiques mises en place à partir de 2020 ont non seulement limité la contraction du PIB mais également l’augmentation de la dette publique.
David Piovesan, iaelyon School of Management – Université Jean Moulin Lyon 3
Que pensent les clients de leurs librairies ? Quelles sont leurs pratiques et habitudes d’achats de livres, et ont-elles évolué au cours de la pandémie ?
Aux États-Unis, la double dégradation actuelle des déficits publics et de la balance courante pourrait mettre fin à une période historique de financement aisé auprès des investisseurs étrangers.
Keith Pilbeam, City St George's, University of London
Les différents rythmes d’inflation des deux côtés de l’Atlantique et les réponses monétaires envisagées face à la hausse des prix devraient entretenir la dépréciation de la devise européenne.
Le rebond économique post-Covid reste vigoureux, mais les conséquences de la brutale chute de l’activité au deuxième trimestre 2020 continuent de plomber la croissance.
Les dépenses publiques pour faire face à la crise pourraient infléchir la trajectoire de correction des écarts entre les pays excédentaires et les pays déficitaires.
Après une forte baisse des émissions en 2020 due à la pandémie de Covid-19, 2021 témoigne d’une inquiétante reprise, souligne la nouvelle étude du Global Carbon Projet.
La conjoncture post-Covid, le fonctionnement des marchés, la nécessaire décarbonation de l’économie mondiale : autant de facteurs qui expliquent les effets yo-yo des prix de l’énergie.
Les investissements prévus pour les infrastructures devraient gonfler le montant des dépenses irrégulières – d’autant que le législateur n’a pas fait de la lutte contre le phénomène une priorité.
Les redressements judiciaires liés à la levée des mesures d’aide annoncée par le gouvernement entraîneront des coûts à la fois directs et indirects variables selon le type d’entreprise concernée.