Les bénéfices de l'activité physique sont connus… Pourtant, la pratique sportive reste insuffisante chez beaucoup. Les sciences de la décision peuvent expliquer ce constat et apporter des solutions.
Des changements positifs ont lieu actuellement dans le monde du hockey sur glace au Québec et au Canada, visant à améliorer l’esprit sportif, l’apprentissage et le plaisir des jeunes hockeyeurs.
Manger, dormir, avoir des rapports sexuels… Toutes ces activités génèrent du plaisir, ce qui nous pousse à les répéter, au risque de tomber dans le piège de l’addiction.
Pour la première fois, cette étude montre que les lipides retrouvés dans la circulation après la digestion d’un repas peuvent agir directement sur les neurones du « système de la récompense ».
Certains ont une attirance accrue pour le latex, d’autres pour les pratiques sadomasochistes. Tous sont avides de nouvelles découvertes qui impliquent imprévu, mystère et consentement.
Les hommes et les femmes qui déclarent que leurs activités sexuelles périclitent sont plus susceptibles de connaître aussi une détérioration de leur état de santé général.
Si le plaisir masculin a souvent été étudié chez les animaux mâles, ça n’a pas beaucoup été le cas chez les femelles. Pourtant, l’espèce humaine n’est pas la seule à ressentir du plaisir sexuel.
Professeur associé, Responsable du département Marketing Analystics and Experience Insights, Titulaire de la chaire Living Health, PSB Paris School of Business