INRAE, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement, est un acteur majeur de la recherche et de l’innovation créé le 1er janvier 2020. Institut de recherche finalisé issu de la fusion entre l’Inra et Irstea, INRAE rassemble une communauté de 12 000 personnes, avec 268 unités de recherche, service et expérimentales implantées dans 18 centres sur toute la France. L’institut se positionne parmi les tout premiers organismes de recherche au monde en sciences agricoles et alimentaires, en sciences du végétal et de l’animal, et se classe 11e mondial en écologie-environnement. Il est le premier organisme de recherche mondial spécialisé sur l’ensemble « agriculture-alimentation-environnement ». INRAE a pour ambition d’être un acteur clé des transitions nécessaires pour répondre aux grands enjeux mondiaux. Face à l’augmentation de la population, au changement climatique, à la raréfaction des ressources et au déclin de la biodiversité, l’institut construit des solutions pour des agricultures multi-performantes, une alimentation de qualité et une gestion durable des ressources et des écosystèmes.
Nous avons pris l’habitude de voir nos aliments comme une somme de nutriments, ouvrant la voie à leurs alter-egos ultratransformés. Pour revenir à une alimentation saine, changeons de point de vue.
Un nombre croissant d’études pointe les effets néfastes de la consommation d’aliments ultratransformés sur la santé. Mais sauriez-vous les reconnaître dans les rayons des supermarchés ?
Une nouvelle maladie inquiétante frappe les dromadaires algériens. Le vecteur est un prion, comme celui qui a touché les vaches folles et tout récemment les élans et rennes en Europe du Nord.
Malgré une préoccupation croissante face au déclin des insectes, nous conservons d’eux une perception ambiguë, surtout lorsqu’ils s’invitent dans notre intimité.
Rappelant la douloureuse crise de la vache folle, une nouvelle maladie à prion détectée chez les cervidés en Europe du Nord fait craindre une épidémie, questionnant aussi une possible transmission à l’humain.
Les plantes utilisent des molécules volatiles pour communiquer entre elles ou avec les insectes. Modifier le « paysage odorant » c’est aussi attaquer la biodiversité.
Les stations de ski tentent de se préparer au déficit d’enneigement dans le contexte du changement climatique. Une situation qui ravive les oppositions entre aménageurs et protecteurs de la montagne.
Le lien entre obésité et augmentation du risque de certains cancers est désormais de plus en plus solidement établi. Retour sur les dernières découvertes scientifiques.
Quelle est la perception du risque lié aux maladies à tiques par les Français ? Quel est leur degré d’information ? Sont-ils prêts à changer leur comportement pour diminuer leur risque d’exposition ?
Saviez-vous que sous vos pieds des milliards de bactéries vivent et rendent des services incroyables ? Une équipe a relevé le pari fou de recenser toutes ces espèces partout en France.
Depuis le 1ᵉʳ janvier, l’usage des pesticides de synthèse est interdit aux jardiniers amateurs. Diversifier les plantes de votre potager peut constituer un outil naturel efficace contre les ravageurs.
Pour l’agriculture, l’avènement du numérique répond à la préoccupation de faire plus vite, plus grand ou mieux au risque de renforcer certains de ses travers.
Notre vision des plantes a considérablement évolué ces dernières années et de nombreuses recherches se consacrent désormais à l’étude de leur sensibilité.
Le déclin du nombre d’agriculteurs et la concentration des exploitations entrent en contradiction avec la mise en œuvre de pratiques agricoles plus respectueuses de l’environnement.
El envejecimiento es el principal factor de riesgo para el Alzheimer. Pero investigaciones recientes sugieren que la enfermedad también puede ser transmitida entre individuos.