INRAE, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement, est un acteur majeur de la recherche et de l’innovation créé le 1er janvier 2020. Institut de recherche finalisé issu de la fusion entre l’Inra et Irstea, INRAE rassemble une communauté de 12 000 personnes, avec 268 unités de recherche, service et expérimentales implantées dans 18 centres sur toute la France. L’institut se positionne parmi les tout premiers organismes de recherche au monde en sciences agricoles et alimentaires, en sciences du végétal et de l’animal, et se classe 11e mondial en écologie-environnement. Il est le premier organisme de recherche mondial spécialisé sur l’ensemble « agriculture-alimentation-environnement ». INRAE a pour ambition d’être un acteur clé des transitions nécessaires pour répondre aux grands enjeux mondiaux. Face à l’augmentation de la population, au changement climatique, à la raréfaction des ressources et au déclin de la biodiversité, l’institut construit des solutions pour des agricultures multi-performantes, une alimentation de qualité et une gestion durable des ressources et des écosystèmes.
Entre discours catastrophiste et optimisme excessif, comprendre les interactions entre les insectes et leurs milieux permet d’appréhender plus justement les enjeux qui entourent leur déclin.
En octobre, un article scientifique concluant qu’il n’est pas nécessaire de limiter sa consommation de viandes rouges ou transformées a déclenché un tollé. Décryptage d’une polémique inutile.
Entrer dans le quotidien des habitants des campagnes en déclin, c’est aussi découvrir la complexité des rapports sociaux qui s’y nouent dans le temps. Extraits de l’ouvrage « Ceux qui restent ».
Jamais on n’aura autant loué le rôle clé des forêts pour lutter contre les effets du changement climatique. Et jamais les forêts n’auront été si menacées…
To understand how healthy a food is, we often look at fats and proteins, vitamins and minerals. But this approach overlooks one property that’s a key part of a food’s health potential – its structure.
En terme de santé, la composition des aliments ne fait pas tout : leur structure est également importante. Pressés, broyés ou pilés, fruits et céréales n’ont plus les mêmes effets.
Les consommateurs baseraient leurs choix sur des opérations mentales rapides et intuitives. Fort de ce constat, les pouvoirs publics sont en train de changer leur approche de l’étiquetage alimentaire.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les forêts de haute altitude connaissent elles aussi un risque accru d’incendies dans le contexte du changement climatique.
On prête au thé, et notamment au thé vert, d’innombrables vertus. Il serait même capable de prévenir le cancer. Pourtant, cet effet n’a jamais été mis en évidence chez l’être humain…
De nombreux programmes élaborés par des scientifiques permettent à tout à chacun d’observer la nature et de contribuer à l’avancée des connaissances sur la biodiversité. Pourquoi pas vous ?
Les tiques sont porteuses de nombreux microbes pouvant rendre malades l’être humain et les animaux. Mais elles ne les transmettent pas systématiquement lorsqu’elles piquent leurs victimes.
La circularité, même parfaite, n’a alors que peu d’effets sur le long terme, et ne fait que retarder de quelques années les pressions sur les ressources.
Nous avons pris l’habitude de voir nos aliments comme une somme de nutriments, ouvrant la voie à leurs alter-egos ultratransformés. Pour revenir à une alimentation saine, changeons de point de vue.