INRAE, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement, est un acteur majeur de la recherche et de l’innovation créé le 1er janvier 2020. Institut de recherche finalisé issu de la fusion entre l’Inra et Irstea, INRAE rassemble une communauté de 12 000 personnes, avec 268 unités de recherche, service et expérimentales implantées dans 18 centres sur toute la France. L’institut se positionne parmi les tout premiers organismes de recherche au monde en sciences agricoles et alimentaires, en sciences du végétal et de l’animal, et se classe 11e mondial en écologie-environnement. Il est le premier organisme de recherche mondial spécialisé sur l’ensemble « agriculture-alimentation-environnement ». INRAE a pour ambition d’être un acteur clé des transitions nécessaires pour répondre aux grands enjeux mondiaux. Face à l’augmentation de la population, au changement climatique, à la raréfaction des ressources et au déclin de la biodiversité, l’institut construit des solutions pour des agricultures multi-performantes, une alimentation de qualité et une gestion durable des ressources et des écosystèmes.
Présenté le 7 février 2019, le projet de loi énergie-climat du gouvernement français substitue la division par 4 des émissions de gaz à effet de serre par la neutralité carbone à l’horizon 2050.
Le tri de nos déchets reste un geste précieux, mais ne nous laissons pas aveugler par le mirage du tout-recyclage, qui ne peut résoudre le gros problème de gestion des déchets plastiques.
Moins de viande, plus de légumineuses et un étiquetage digne de ce nom sur l’impact environnemental des aliments, voici quelques-unes des pistes pour faire rimer alimentation et développement durable.
L’idée selon laquelle jeûner pourrait prévenir, voire guérir le cancer, suscite de l’enthousiasme. Mais en l’état actuel des connaissances scientifiques, cette allégation n'est pas vérifiée.
From the most elaborate cake to the humblest loaf, a key to success is the beautifully aerated structure within – but producing consistent results can be difficult. Now, science may have found out why.
Il n’existe pas encore de médicament efficace contre la grippe. Mais les chercheurs suivent plusieurs pistes, et notamment celle de médicaments initialement destinés à fluidifier le sang.
Il est temps de déconstruire l’opposition entre économistes prétendus orthodoxes et hétérodoxes, qui semble reposer sur des critères trop nombreux et en partie arbitraires.
L’introduction de cotonniers génétiquement modifiés résistant aux insectes ravageurs, bien que contestée, a permis à l’Inde de réduire sa consommation d’insecticides et d’augmenter sa production.
Très variées, les expériences de sciences participatives induisent un rapprochement entre les scientifiques et les citoyens. Analyse de trois cas illustrant cette démarche vertueuse.
Les changements climatiques en cours ont déjà un impact sur les incendies de forêt en France, avec une extension saisonnière et spatiale de la zone à risque et le développement de grands feux.
En France, 17 millions de personnes sont exposés aux inondations. Dans la lutte contre cette menace, les ouvrages s’appuyant sur les végétaux peuvent faire la différence.
La méthanisation est une technique bien connue de valorisation des déchets. Appliquée à l’échelle domestique, elle peut faire partie des solutions visant à réduire la pollution urbaine.
Le terme « méta-analyse » désigne une synthèse des études scientifiques réalisées sur un sujet, une analyse d’analyses. Comment procède-t-on ? Qu’apportent-elles ? Quelles sont leurs limites ?
Beaucoup a été écrit sur la protection individuelle contre les tiques, mais la prévention repose aussi sur la gestion des espaces verts. Citoyens et scientifiques explorent différentes approches.
Un « nez » électronique s’est montré capable de reconnaître 17 maladies à partir de l’air exhalé par les patients. Mais la technique doit encore être standardisée.
Le nez est une porte d’entrée dans le cerveau pour les pathogènes. Mais notre organe olfactif peut aussi être une voie d’accès pour des médicaments traitant les maladies cérébrales.
Depuis 2013, le taux de CO₂ présent dans l’atmosphère a atteint 400 ppm et ne cesse d’augmenter. Mais pour contenir le réchauffement climatique, il va falloir repasser sous le seuil de 350 ppm.
Selon le type de microbes présents dans notre nez, nous n’apprécions pas les mêmes odeurs. Ceux-ci pourraient donc jouer un rôle dans nos choix alimentaires.