Le débat sur le collège électoral oppose ceux qui souhaitent un président choisi selon le vote populaire à ceux qui pensent que les intérêts des petits et des grands États doivent être équilibrés.
Aux États-Unis, l’appartenance religieuse demeure un facteur explicatif important du vote. L’élection présidentielle de cette année a mis en évidence plusieurs évolutions notables du vote religieux.
On lit souvent que la capacité de Joe Biden à gouverner dépendra de l’issue de la double élection à venir en Géorgie, qui déterminera la couleur politique du Sénat. La réalité est plus nuancée.
Le 3 novembre, Donald Trump a perdu mais le parti républicain a enregistré des résultats satisfaisants à la Chambre des représentants et au Sénat. De bon augure pour l’avenir ?
Le scrutin majoritaire en vigueur aux États-Unis comme dans la quasi-totalité des pays du monde reflète imparfaitement les préférences des électeurs et pourrait de nouveau bénéficier à Donald Trump.
L’adversaire démocrate de Donald Trump en novembre prochain sera soit Joe Biden, soit Bernie Sanders. Quel que soit le vainqueur de cet affrontement, il y laissera des plumes…
Le décompte final des voix révèle qu’Hillary Clinton a gagné le vote populaire avec une avance de 2,68 millions de voix. De quoi relancer le débat sur le système électoral américain.
Devancé pendant la campagne dans les sondages par Hillary Clinton, Donald Trump s'est employé avec opiniâtreté à allumer une polémique concernant, notamment, la question des pièces d’identité.
Enseignant au Moravian College de Pennsylvanie, doctorant au Laboratoire Interdisciplinaire De Droit et Mutations Sociales, Aix-Marseille Université (AMU)