Nous assistons à un changement profond dans la signification sociale de la retraite, davantage associée aujourd’hui à l’activité et moins au repos et aux loisirs.
La retraite graduelle est de plus en plus populaire. Les motivations sont nombreuses pour rester sur le marché de l'emploi mais un fait demeure: l'État ne s'est pas ajusté à cette nouvelle réalité.
Professeure à l'Université TELUQ, Université du Québec, directrice de l'ARUC sur la gestion des âges et des temps sociaux et de la Chaire de recherche du Canada sur l'économie du savoir, Université TÉLUQ