Les entreprises ont encore une compréhension limitée des risques climatiques. Plusieurs initiatives se sont développées pour améliorer l’information dans ce domaine.
Les voitures électriques roulent déjà et les ingénieurs travaillent dur pour construire des avions plus propres. Il faut le faire : la pollution par l’essence est devenue un vrai danger.
Aurélien Boutaud, Centre national de la recherche scientifique (CNRS) and Natacha Gondran, Mines Saint-Etienne – Institut Mines-Télécom
Dépasser les limites planétaires mettra en péril l’équilibre global du système Terre. Un point de rupture dont nous approchons, en dépassant les « frontières » ouvrant sur les zones critiques.
La vague de chaleur actuelle n’est pas anormale par rapport aux températures usuelles. Les suivantes risquent d’être plus intenses encore, alors que les populations sont déjà vulnérables.
La lutte contre le changement climatique emprunte de plus en plus la voie judiciaire. Un changement que le GIEC a bien pris en compte dans son dernier rapport.
Le dernier rapport du GIEC dresse un portrait des solutions visant à freiner le changement climatique. Cela exige une transformation des systèmes politiques, économiques et sociaux qui nous gouvernent.
Pour devenir un instrument clé de la transition énergétique, le marché du carbone doit être guidé par des objectifs climatiques clairs et ambitieux sur le long terme.
Roberto Silvestro, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) and Sergio Rossi, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Les changements climatiques modifient le calendrier des événements récurrents du cycle de vie des plantes, engendrant des conséquences critiques sur le plan écologique et économique.
Sur les réseaux sociaux, c’est l’ingénieur et consultant Jean-Marc Jancovici qui provoque le plus fort taux d’engagement, souligne une récente étude d’Impakt Faktor.
Philippe Quirion, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
En octobre 2021, RTE a fait paraître un document de référence sur l’avenir du système électrique français. Retour sur ses principales conclusions concernant les options nucléaires et renouvelables.
Alors que la guerre en Ukraine fait passer les objectifs climatiques au second plan, la géopolitique du climat devra s’intéresser davantage à l’adaptation.
L’impression de désintérêt des candidats pour les questions environnementales se justifie par des propositions trop souvent floues ou consensuelles à rebours des préconisations des scientifiques.
Pour ne pas aggraver la vulnérabilité contemporaine, il nous faut lutter contre la rupture mémorielle qui conduit à qualifier chaque nouveau drame de « jamais vu ».
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Chercheuse en sciences du climat, ancienne coprésidente du groupe de travail I du GIEC (2015-2023), directrice de recherche CEA au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement / Institut Pierre Simon Laplace, Paris-Saclay, Université Paris-Saclay
Directeur de recherche CNRS, Expert for Conservation Biology, Axa Chair for Functional Mountain Ecology at the École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)