Attendu pour octobre 2018, le rapport des experts du climat sur l’objectif d’un maximum de 1,5 °C de réchauffement soulève de nombreuses questions, notamment sur le rôle des émissions négatives.
L’analyse globale des résultats de ce nouveau Baromètre du marché de l’énergie confirme que la route vers un changement de modèle dominant de la mobilité est encore longue.
La diplomatie scientifique est celle où les intérêts de la science et ceux de la politique étrangère se conjuguent. Un exemple particulier est celui de la diplomatie du climat. Analyse de ses enjeux.
Pour réduire l’impact de son activité sur l’environnement, une entreprise doit prendre en compte non seulement les effets générés par sa production, mais aussi la fin de vie de ses produits.
Présenté le 7 février 2019, le projet de loi énergie-climat du gouvernement français substitue la division par 4 des émissions de gaz à effet de serre par la neutralité carbone à l’horizon 2050.
Améliorer l'efficacité énergétique, diminuer les émissions de gaz à effet de serre et faciliter la décentralisation du secteur électrique sont les trois priorités les plus pertinentes.
Cette année sera décisive pour les négociations climatiques avec la parution du nouveau rapport du GIEC à l’été et la tenue de la COP24 en Pologne en décembre prochain.
La très attendue réforme du marché du carbone européen, décidée le 9 novembre 2017, pourra-t-elle relancer ce dispositif prévu pour accompagner la transition énergétique ?
Nos solutions techniques ne sont pas des solutions miracles. C’est particulièrement vrai dans le domaine de l’énergie et encore davantage dans celui du changement climatique.
Malgré la volonté de Washington de sortir de l’Accord de Paris, plusieurs États américains se mobilisent pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Arrêter de brûler charbon, pétrole et gaz naturel pour se tourner vers un développement économique « bas carbone », tel est le défi de la transition énergétique engagée ces dernières années.
Les rencontres sur le climat se succèdent mais les résultats se font attendre. Le « One Planet Summit » pourrait s’inspirer du Protocole de Montréal pour mettre la finance au service du climat.
La gouvernance climatique repose sur la notion-clé de contrôle. Mais cette idée est illusoire et il faut être capable de la dépasser pour faire face aux perturbations à venir.
Benoît Leguet, Agence française de développement (AFD)
Ce lundi 6 novembre s’ouvre à Bonn la nouvelle conférence climat organisée par les Nations unies. L’occasion de faire le point sur les nouveaux acteurs de la gouvernance climatique.
Le cœur du problème de la transition énergétique, ce sont les émissions de CO₂, pas l’utilisation des énergies fossiles. C’est pour cela qu’il faut s’intéresser au captage et au stockage du carbone.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne