Après les législatives, Emmanuel Macron sera très probablement contraint à cohabiter avec un gouvernement qui ne lui sera guère acquis. Quelles conséquences pour la diplomatie française ?
Le 4 octobre 1958, était promulguée la Vᵉ République. Le président de la République s’apprête à célébrer le 65ᵉ anniversaire du régime. Revenons donc sur quelques réformes phares de la constitution.
Si les stratégies opportunistes ne sont pas des phénomènes nouveaux en politique, leur analyse éclaire néanmoins les défis auxquels font face les partis comme Les Républicains aujourd'hui.
Nos modes de votes ne sont pas les seuls qui existent, d’autres permettraient de donner plus de choix ou de les affiner, mais également donner du poids aux minorités.
Le succès d’Emmanuel Macron valide une stratégie visant à le faire apparaître comme le champion des « progressistes », mais elle n’a que partiellement fonctionné.
Observer la défaite politique par les discours permet de comprendre l’exercice rhétorique comme un bilan personnel ou un passage de témoin qui peut marquer la fin d’une période politique.
Notre époque subit directement les répliques de ce qui apparaît avec le recul comme les prémices d’un déclin crépusculaire du régime de la Vᵉ République.
Les mobilisations lycéennes ont été nombreuses et variées depuis au moins un siècle et demi. Retour sur trois d’entre elles, de 1882 à 2005, pour remettre en perspective le mouvement de 2018.
Alors que les candidats au bac 2018 entament ce lundi 18 juin le marathon des épreuves écrites, retour sur un leitmotiv des projets de réformes du bac depuis cinquante ans.
L’expression « zéro SDF », récurrente, entendue comme un dessein de politique publique, d’abord critiquée ou moquée, s’est progressivement imposée dans le débat public.
Aujourd’hui, les remaniements ministériels rythment notre vie politique. Qu’en était-il sous l’Ancien Régime ? Et comment cette pratique évolue pour tenter de correspondre à la société contemporaine ?
François Robinet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
À la veille du second tour de l’élection présidentielle, Jean‑Luc Mélenchon adopte une position ambiguë vis-à-vis du Front national. Une stratégie dangereuse pour lui comme pour son mouvement.
Un nombre de non-inscrits plus important que lors des précédents scrutins présidentiels, le poids des affaires et le brouillage gauche-droite : le taux d’abstention pourrait atteindre un pic.