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Articles on bombardements

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Zone partiellement inondée près du pont Antonovskiy, dans la banlieue de Kherson, le 6 juin 2023, suite aux dommages subis par le barrage hydroélectrique de Kakhovka. Oleg Tuchynsky/AFP

Les attaques russes contre les installations énergétiques ukrainiennes sont-elles licites au regard du droit international humanitaire ?

En Ukraine, Moscou vise volontairement des installations énergétiques dans le cadre de son « opération militaire » au risque de causer des dommages graves aux populations civiles.
Le 24 janvier 2023, l’Ukraine a reconnu avoir perdu la ville de Soledar, pilonnée pendant des mois. Ici, une photo prise le 25 septembre 2022. Ministère ukrainien de la Défense

La bataille de Soledar : leçons militaires… et communicationnelles

Parallèlement aux combats qui ont fait rage pendant des mois à Soledar, une bataille informationnelle intense s’est déroulée entre Russes et Ukrainiens, mais aussi au sein même du camp russe.
De la fumée s’élève au-dessus d’une raffinerie ukrainienne après une attaque russe, à proximité de Lyssytchansk, dans le Donbass, le 22 mai 2022. Aris Messinis/AFP

Guerre en Ukraine et destruction de l’environnement : que peut le droit international ?

Ni le droit international humanitaire ni la Cour pénale internationale ne peuvent protéger l’environnement lors d’un conflit. En cause, des textes existants mais difficilement applicables.
En Tchétchénie (on le voit sur cette photo prise début 1995 à Grozny) comme en Finlande en 1939 et en Ukraine depuis deux mois, la Russie a recours à des bombardements massifs pour faciliter l’avancée de ses chars. Guennady Tamarin/AFP

Finlande 1939, Tchétchénie 1994, Ukraine 2022 : pourquoi les guerres russes se ressemblent-elles ?

La « guerre d’Hiver » de 1939-1940, entre l’URSS et la Finlande, et la première guerre de Tchétchénie (1994-1996) rappellent en bien des points l’actuelle « opération militaire spéciale » en Ukraine.
Figure 1 - Première guerre de Tchétchénie (1994-1996). [Anonyme] : «Tout est en feu» in "J’ai dessiné la guerre. Le regard de Françoise et Alfred Brauner", Rose Duroux et Catherine Milkovitch-Rioux (dir.), Pubp, 2011, p. 138

Comment les dessins d’enfants racontent la guerre et l’exil

Témoignant des effets dévastateurs des conflits sur le psychisme des jeunes victimes, les dessins d’enfants sont aussi un outil pour faire valoir leurs droits, et des sources pour les historiens.
Après un tir de missile sur un immeuble résidentiel à Kiev, 17 mars 2022. Des milliers de civils ukrainiens auraient déjà été tués depuis le début de l’invasion russe le 24 février. Fadel Senna/AFP

Guerre en Ukraine : quel rôle pour la Cour pénale internationale ?

La Cour pénale internationale a lancé une enquête qui s’annonce longue et difficile pour établir si des crimes de guerre ont été commis dans le cadre de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
Militaires de l'armée loyaliste éthiopienne à l'issue d'un entraînement au camp de Dabat, à proximité de la région du Tigré, où le pouvoir central conduit une opération militaire de grande envergure depuis plus d'un an, le 14 septembre 2021. Amanuel Sileshi/AFP

Pourquoi parle-t-on si peu de l’Éthiopie en France ?

Alors que l’Éthiopie s’enlise dans un conflit meurtrier et va au-devant d’une crise humanitaire catastrophique, on parle peu du pays dans les médias français. Une situation habituelle mais tragique.
Manifestation contre la remise du prix Nobel de la paix à Abiy Ahmed, le 9 décembre 2019 devant le Parlement norvégien à Oslo. Heiko Junge/NTB SCANPIX/AFP

Les prix Nobel de la paix controversés, signe d’une réforme nécessaire ?

Kissinger, Abyi Ahmed, Obama, Aung San Suu Kyi, Theodore Roosevelt… La liste des Nobel de la paix polémiques est longue, bien plus que pour tout autre prix. Peut-être est-il temps de le réformer ?
Premier producteur mondial d’héroïne et d’opium, l’Afghanistan a fourni 85 % de l’opium mondial en 2020. Wakil Kohsar/AFP

Vingt ans de guerre à l’opium en Afghanistan : retour sur une déroute américaine

Contrairement aux affirmations récurrentes de Washington, ce ne sont pas les talibans, mais les alliés afghans des États-Unis qui ont, depuis vingt ans, été les principaux trafiquants d’opium.

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