Évaluer la pratique du bilinguisme français/anglais à la maison est très difficile. L’auteur propose une approche alternative pour mieux cerner la réalité de la pratique linguistique.
Xavier Aparicio, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Les sous-titres facilitent-ils forcément la compréhension d’un film en VO ? Ou créent-ils une surcharge cognitive ? Tout dépend des circonstances et du type de sous-titres.
Les intérêts des nations autochtones rejoignent ceux du Québec, car dans les deux cas, le contexte institutionnel actuel du Canada ne parvient pas à répondre à leurs besoins spécifiques.
Atteindre une égalité réelle entre les langues officielles, c’est donner un coup de pouce au français. À cette fin, le projet de loi C-32 introduit des mesures ambitieuses.
Nous devons favoriser le dialogue avec la jeunesse québécoise francophone, anglophone et allophone et l’accompagner dans cette découverte de la richesse de la langue française.
Autant les fonctionnaires francophones qu’anglophones sont mal à l’aise d’utiliser le français dans les milieux de travail où le bilinguisme est requis. Comment s’en sortir ?
La majorité des francophones hors Québec ne croit pas que le français soit en péril, tandis que les Franco-Québécois s’inquiètent de l’avenir de leur langue dans une proportion similaire.
En ce mois du 50ᵉ anniversaire de la Francophonie, il est temps de réfléchir à l'histoire inédite des connexions françaises à travers la frontière canado-américaine.
Et si la pratique du pitch influait les projets de start-up, plutôt que de simplement les présenter ? Ou quand l’outil se retourne contre son créateur.
Ce qui étonne, c’est que même dans un pays où l’industrie langagière est florissante et où l’expertise est remarquable, on « oublie » trop souvent de solliciter un professionnel pour la traduction.
Full Professor, Research Chair in Language Rights, Faculty of Law | Professeur titulaire, Chaire de recherche Droits et enjeux linguistiques, Faculté de droit, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa