Le second tour de l'élection présidentielle voit s'affronter deux candidats de droite. D’un côté, Emmanuel Macron, porte-drapeau de la famille politique « néolibérale européiste ». De l’autre, Marine Le Pen, porte-drapeau de la famille politique « nationaliste identitaire ».
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Pour l’heure, il semble qu’aucune union n’est possible entre néolibéraux et nationalistes. Les partisans des deux camps défendent des projets de société inconciliables.
Le 6 décembre 2021 Valerie Pécresse, candidate LR de la présidentielle 2022 et Eric Ciotti, à sa droite, se rendaient à Saint-Martin-Vesubie, commune dévastée par la tempête Alex il y a un an.
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La nomination de Valérie Pécresse est peut-être le début d’une nouvelle séquence de questionnement sur l’identité politique d’une droite fortement concurrencée.
Façade du Zénith Métropole prise à Saint-Herblain, près de Nantes, le 30 octobre 2021, en amont de la venue du polémiste Zemmour en tournée promotionnelle pour la sortie de son dernier ouvrage.
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La droite française, se disant elle-même « républicaine », a bien du mal à adopter une stratégie satisfaisante vis-à-vis du polémiste et présumé candidat Éric Zemmour.
L'ancien président, cible privilégiée de tous les autres candidats.
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Si les échanges aigres-doux du débat traduisent à quel point l’ex-président n’est plus perçu par les ténors de la droite comme « le patron », le « tout sauf Sarkozy » montre qu’il continue d’obséder.
A Colombey-les-deux-Églises.
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Une certitude après le 13 octobre : même si une bataille aura lieu pour capter les voix des électeurs centristes, le débat de la présidentielle sera fortement structuré par la dimension gauche-droite.
Christiane Taubira est partie, Jean-François Copé est revenu. La traversée du désert, ou la mise au vert, c’est selon, peut aussi être un levier politique. Un « come-back » qui passe par les médias.