Arnaud Mercier, Auteurs historiques The Conversation France
Emmanuel Macron doit désormais assumer le bilan de son mandat et gérer la dégradation de son image, face à une Marine Le Pen qui ne commettra plus les mêmes erreurs qu’en 2017.
Jean-Luc Mélenchon leader de la France Insoumise lors d'un rassemblement à Toumouse en amont du premier scrutin à l'élection présidentielle de 2022.
Lionel Bonaventure / AFP
Comprendre l’état actuel de La France Insoumise implique une évaluation de ses atouts dans la recomposition du paysage politique national, comme des limites rencontrées depuis sa fondation.
La crise du Covid-19 vient jouer un rôle d’accélérateur dans le questionnement des jeunes sur leur façon de vivre.
Shutterstock
S’ils sont nombreux à se mobiliser lors des manifestations pour le climat, les jeunes changent-ils vraiment leurs habitudes de vie au quotidien ? Quelques éclairages.
Sur la Promenade des Anglais, à Nice, le 8 décembre 2018.
Valery Hache/AFP
Malgré une large sympathie dans la population, le mouvement repose principalement sur une mobilisation des catégories populaires. Qu’est-ce qui pousse ces catégories à cette colère ?
Emmanuel Macron à la Ferney-Voltaire, le 31 mai 2018.
Fabrice Coffrini/ AFP
Le décalage entre l’offre et la demande politique, notamment des catégories populaires, n’a pas disparu et ne semble guère propice à une homogénéisation des populismes.
Jusqu’à quand durera la discipline de la majorité actuelle qui doit son élection au Président Macron et joue donc, pour l’instant, le rôle des godillots des premiers temps de la Vᵉ République ?
En mars 2017, le candidat socialiste Benoît Hamon encerclé par les journalistes.
Gabriel Bouys/AFP
Sur Twitter, les médias traditionnels français ont occupé des positions éminentes et ont généré beaucoup plus de partages et de conversation que les médias nés en ligne.
Les élections législatives de 2017 ont marqué un nouveau record d’abstention : 51,3 % au premier tour et 56,6 % au second tour. Comment expliquer ce phénomène et surtout comment l’endiguer ?
Les nouveaux venus du Palais Bourbon.
Thomas Samson/AFP
Pierre Bréchon, Auteurs historiques The Conversation France
Au terme d’une longue période électorale, le paysage politique français est totalement chamboulé. Les anciens partis de gouvernement sont marginalisés au profit d’une force centrale.
Emmanuel Macron, dimanche 18 juin 2017, au Touquet.
Christophe Archambault/AFP
Riches en résultats inattendus ou mal perçus, ces élections législatives sont un ferment de recomposition politique qui fera date dans l’histoire de la Vᵉ République.
Le siège du Parti socialiste, à Paris, le 12 juin 2017.
Lionel Bonaventure/AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Laminée aux législatives par la percée du mouvement d’Emmanuel Macron, la gauche peut-elle renaître de ses cendres ? Sans doute, mais en dehors des cadres politiques habituels.
Le Président qui dynamiste la Vᵉ République.
Christophe Archambault/AFP
Macron tente d’établir un centre parlementaire, une expérience inhabituelle sous la Vᵉ République, mais connue depuis Cicéron jusqu’à la IIIᵉ République, en passant par Machiavel et Bonaparte.
Réseaux des tweets des français liés à la politique des 17 et 18 avril.
P. Latouche
En cette période de législatives, retour sur… L’analyse du web social lors de la présidentielle et ce qu’elle nous apprend sur la recomposition politique en cours.
Dans un bureau de vote, dans l'ouest de la France, dimanche 11 juin 2017.
Loïc Venance/AFP
En atomisant les formations traditionnelles, Emmanuel Macron peut faire de La République en marche ! un axe central et durable de la vie politique, et rebâtir ainsi durablement l’échiquier partisan.
Dans une rue de Nantes, le 4 juin 2017.
Loïc Venance/AFP
Pierre Bréchon, Auteurs historiques The Conversation France
Depuis 2002, les législatives suivent la présidentielle de quelques semaines. Dans ce contexte, le président a en effet de fortes chances d’avoir une majorité parlementaire.
Dans la cour du Louvre, au soir du 7 mai 2017.
Eric Feferberg/AFP
L’affiche officielle fixe pour cinq ans l’image du « président jupitérien », celle que les cérémonies s’évertuent à composer depuis l’élection d’Emmanuel Macron.
Dans une rue de Paris, à la veille du second tour de la présidentielle.
Lorie Shaull/Flickr
La gauche française a fini sa gentrification, sa mue en portant Emmanuel Macron au pouvoir celui qui pose là le libéralisme économique tout aussi bien qu’une forme du libéralisme culturel.
Chercheur associé en science politique au Centre de sociologie des organisations - Chef de projet transition énergétique à France stratégie, Sciences Po