L’unité politique de la gauche radicale via une coalition n’a été qu’une poursuite, par d’autres moyens et sur d’autres terrains, de leurs oppositions et divergences politiques et stratégiques.
Gérard Larcher, le président (LR) du Sénat, conserve confortablement son fauteuil à l'issue du scrutin du 24 septembre.
Lionel Bonaventure / AFP
Si les résultats de LREM sont très loin de la percée annoncée, ils ne sont nullement catastrophiques. Elle a emporté une fraction significative de l’implantation socialiste traditionnelle.
Le hall du siège du PS, rue de Solférino à Paris.
Patrick Kovarik/ AFP
Combien de temps encore ces partis survivront-ils ? Et combien de temps le Parti socialiste résistera-t-il à cette mode ? Car si le packaging est important, les idées politiques le sont davantage.
Les nouveaux venus du Palais Bourbon.
Thomas Samson/AFP
Pierre Bréchon, Auteurs historiques The Conversation France
Au terme d’une longue période électorale, le paysage politique français est totalement chamboulé. Les anciens partis de gouvernement sont marginalisés au profit d’une force centrale.
Le Président Macron, dimanche 11 juin, à la sortie de son domicile du Touquet.
Philippe Huguen / AFP
En atomisant les formations traditionnelles, Emmanuel Macron peut faire de La République en marche ! un axe central et durable de la vie politique, et rebâtir ainsi durablement l’échiquier partisan.
François Hollande sur le perron de l’Élysée, le 28 novembre 2016.
François Guillot/AFP
François Hollande est pris entre sa faim de défendre son bilan et sa soif d’être légitimé par ses amis. Pour échapper à cette inertie, il peut sortir du jeu, ou se présenter en dehors de la primaire.
Le Front national aux portes du pouvoir ? Pas forcément.
Blandine Le Cain/Flickr
Malgré des scores électoraux en hausse sensible d’élection en élection, le Front national peut-il conquérir le pouvoir sans allié ? L’exemple du PCF durant les Trente Glorieuses démontre le contraire.
La tête de liste des écologistes, Sandrine Bélier, avec Laurent Voulzy et Alain Souchon en renfort.
Patrick Hertzog / AFP
L’ACAL est la seule région de l'hexagone majoritairement à droite, au terme des élections départementales de 2015. Un laboratoire pour la reconquête des territoires par la droite sur le FN?
Laurent Wauquiez, tête de liste des Républicains, au coude à coude avec la gauche.
Jeff Pachoud / AFP
Pierre Bréchon, Auteurs historiques The Conversation France
Avec près de 8 millions d’habitants, cette région réunit deux entités très disparates. Et met au coude à coude la gauche, Les Républicains et le FN qui devrait jouer les arbitres du second tour.
Arnaud Montebourg et Jean-Luc Mélenchon et, à gauche toute!
Jacques Demarthon / AFP
Contrastant avec les succès de Syriza en Grèce et la montée en puissance de Podemos en Espagne, la gauche radicale paraît atone en France. En réalité, le malaise va bien au-delà de cette frange.