Adaptée en 1875 en France, la légende de Maroussia, qui s’engage pour l’indépendance de l’Ukraine, fait partie des grands succès de littérature de jeunesse. Retour sur ses lectures et relectures.
1966-1996, la France réalise 193 essais nucléaires en Polynésie française. L’ouvrage « Des bombes en Polynésie » revient sur cet épisode, en associant historiens, géographes et anthropologues.
Charlotte Girard, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières and Vincent Sizaire, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
La constitution actuelle ne saurait être la seule explication à la crise institutionnelle que traverse la France, mais elle en est l’une des plus déterminantes.
Pour ne pas aggraver la vulnérabilité contemporaine, il nous faut lutter contre la rupture mémorielle qui conduit à qualifier chaque nouveau drame de « jamais vu ».
Témoignant des effets dévastateurs des conflits sur le psychisme des jeunes victimes, les dessins d’enfants sont aussi un outil pour faire valoir leurs droits, et des sources pour les historiens.
Raconter l’histoire cinématographique d’Odessa, aujourd’hui au centre de l’attention mondiale, c’est aussi raconter l’histoire de l’Europe contemporaine.
La concentration des médias aujourd’hui à l’œuvre en France menace le pluralisme constitutif de la démocratie. Elle réactive des enjeux soulevés dès la IIIᵉ République.
Voilà plus de deux siècles que les lycéens créent des journaux pour s’exprimer sur l’actualité et leurs préoccupations. Mais la reconnaissance de ces supports dans les établissements a pris du temps.
L’Histoire a toujours servi d’arme dans l’ancienne URSS, un moyen de contrôler le récit et de nier la vérité du passé. Vladimir Poutine tente maintenant de contrôler ce récit par la guerre.
Selon le philosophe russe Alexandre Kojève en 1947, la prise de conscience qu’il n’y a plus de raisons de massacrer des populations innocentes marque un achèvement pour l’humanité.
La lecture des gènes en protéines est finement régulée. Sa perturbation peut provoquer des pathologies graves, dont le cancer. De nouveaux traitements ciblant cette régulation sont à l’étude.
Pour les nationalistes russes, la langue ukrainienne est classée comme un dérivé de la langue russe, et l’invasion ressemble moins à un acte d’agression qu’à une réintégration.
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay