En jouant sur le sexe biologique et le sexe symbolique des animaux, nos ancêtres nous ont laissé un témoignage d'une connaissance du monde plus complexe que nous ne pouvions l'imaginer jusqu'alors.
Comprendre le cycle côtier du plastique permettrait de mieux évaluer le volume des déchets présents dans l’eau et sur la plage afin de lutte plus efficacement contre ce phénomène dramatique.
Le jeu LittoSIM sensibilise les décideurs des collectivités territoriales soumises au risque de submersion. Il montre la capacité des décideurs à envisager différemment l’anthropisation du littoral.
Les pressions anthropiques et le changement climatique menacent les poissons migrateurs. Mieux évaluer les services écosystémiques qu’ils nous rendent nous encouragerait à mieux les protéger.
Les insectes, dont le nombre n'a cessé de décliner ces quarante dernières années, sont indispensables pour notre sécurité alimentaire et le maintien de la biodiversité.
La conquête de l’espace se renouvelle, et nous sommes à la croisée de deux chemins : celui d’une responsabilité commune et partagée et celui d’un individualisme débridé et profiteur.
Il peut exister une rupture entre les normes du « bien manger » diffusées par l’école et l’alimentation réellement accessible aux élèves, financièrement ou géographiquement. Comment la surmonter ?
Les représentations post-apocalyptiques peuvent nourrir une prise de conscience en insistant sur la gravité des transformations que l’homme opère sur son environnement.
Le campagnol peut causer des dégâts considérables dans les cultures. Il est essentiel de mieux comprendre la biologie de l'espèce pour trouver des moyens écologiques de lutter contre sa prolifération.
Avec des cellules isolées tirées de la peau, du sang, ou des urines, les scientifiques peuvent en théorie obtenir tous les types cellulaires. Où en est la recherche dans ce domaine ?
Chabha Sehaki, Université de Picardie Jules Verne (UPJV)
La résistance aux antibiotiques pousse aujourd'hui la recherche à développer des alternatives aux traitements habituels : quelle place peuvent y prendre les plantes médicinales ?
La crise sanitaire remet en question l’accès régulier à une nourriture saine et de qualité. Dans ce contexte, le jardinage urbain porte la promesse d’une nouvelle urbanité.
Face à la montée des eaux, deux options s’offrent à nous. Protéger les activités anthropiques en renforçant les digues tant que cela est possible, ou redonner peu à peu sa place à la nature.
Dans les régions tropicales, la culture du maïs exige le recours massif aux intrants chimiques. Une autre solution existe, fondée sur la rotation des cultures, pour favoriser la fertilité des sols.
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)