Un anthropologue nous expose les raisons d'un triomphe mondial, entre goût des grands récits, échos réalistes au monde contemporain, et attrait du merveilleux.
Des années, des siècles après leur sortie, les romans d’Annie Ernaux, Maupassant ou Madame de Lafayette touchent-ils encore les jeunes ? Posons la question à l'occasion des nouveaux programmes du bac.
Si la plupart des contes s’achèvent heureusement, ils abordent aussi sous couvert de merveilleux les questions de handicap et de différence qui préoccupent les enfants. Trois exemples de classiques.
Le deuil de ceux qui ont perdu des êtres chers dans l'attentat d'Air India n'a pas occupé une place importante dans la mémoire collective. Il en est revenu aux artistes d'occuper ce vide.
Ève Morisi, Institut d'études avancées de Paris (IEA) – RFIEA
Comment penser le terrorisme ? Où commence-t-il et où finit-il, comparé à d’autres formes de violence politique ? Peut-il jamais être légitime ? Relire Camus peut apporter quelques réponses.
À l’heure du tout numérique, la résistance du livre sous sa forme imprimée peut surprendre. Pourtant cette persistance de l’écrit sur du papier s’explique.
L’influence exercée par les images collectives de la maternité parfaite est telle que les mères ressentent la pression de devoir répondre à ce modèle irréaliste.
Annie Ernaux est restée longtemps une illustre inconnue dans la plupart des pays anglophones. Mais cette injustice est en passe d’être réparée, grâce à la traduction récente de deux de ses œuvres.
Comment, après avoir suivi des études à HEC et créé son entreprise, on en vient finalement à écrire des romans, qui sont autant d’entreprises ? Entretien avec Flore Vasseur.
Valérie Manteau parle de son roman « Le sillon », prix Renaudot 2018 (2ᵉ partie)
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Valérie Manteau, de retour à Istanbul, évoque ses sources d’inspiration quelques mois après la publication de son deuxième roman, « Le sillon » (Le Tripode, prix Renaudot 2018).
Valérie Manteau parle de son roman « Le sillon », Prix Renaudot 2018 (1ʳᵉ partie)
Valérie Manteau, de retour à Istanbul, évoque ses sources d’inspiration quelques mois après la publication de son deuxième roman, « Le sillon » (Le Tripode, prix Renaudot, 2018).
Le milieu littéraire québécois est à l’origine d’un « générateur de projets interdisciplinaires » qui offre, à partir de l’objet-texte, des processus collaboratifs de création, sous diverses formes.
La lecture nous instruit, nous distrait, nous transporte… Et nous transforme, en changeant notre perception d’autrui, littéralement. Pourtant, ses effets sur notre cerveau ont été peu étudiés.
Ne pas avoir honte de parler de livres souvent parcourus, certainement oubliés, dont on a seulement entendu parler voire inconnus : quel beau pari que nous propose Pierre Bayard !
De « Tobie Lolness » à « La Cité des livres qui rêvent », en passant par « Sauveur et fils » ou l’incontournable « Harry Potter », revue de quelques titres conjuguant suspense et qualité littéraire.
Enseignante certifée (lettres modernes, sciences de l'information et de la communication, FLE), autrice (France Culture, Radio Nova, Joca Seria), Université Sorbonne Paris Nord
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay