Peu réaliste sur le plan opérationnel et institutionnel, cette idée a le mérite d’exprimer une communauté de destin partagée par les Européens face à un monde multipolaire et incertain.
Le soir des élections en Hesse, les chefs de file des principaux partis en grande discussion à la télévision.
Oliver Dietze/AFP
Julien Sellier, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
L’Allemagne, qui se considère officiellement comme un pays d’immigration, a mis en œuvre une politique d’intégration, et tente d’organiser ses relations avec les responsables du culte musulman.
Manifestation à l'appel de l'AfD à Rostock, le 22 septembre 2018.
Ralf Hirschberger /AFP
Maniant les provocations et une excellente communication politique, l’AfD pourrait, dans les prochains mois, remporter de nombreux combats électoraux au niveau local.
Horst Seehofer (ici en 2016), le leader de la CSU, allié de plus en plus encombrant d'Angela Merkel.
Andreas Khol/Flickr
Le réveil de l’extrême droite en Saxe et Saxe-Anhalt confronte l’Allemagne à un phénomène minimisé depuis des années, celui de la radicalisation de l’extrême droite néonazie.
Rassemblement en faveur de l'ouverture de routes sécurisées pour les migrants, à Berlin, le 4 août 2018.
David Gannon / AFP
Bénédicte Laumond, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
À quelques semaines des élections en Bavière, la stratégie populiste contestée du parti conservateur risque de profiter davantage à l’extrême droite qu’au SPD.
Julien Sellier, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
La consommation de viande a baissé, de même que la production, tandis que la question même de l’acceptabilité de l’élevage est posée par le développement d’un fort mouvement vegan dans le pays.
Angela Merkel et Emmanuel Macron à Mesberg (Allemagne), le 19 juin 2018.
Ludovic Marin/AFP
Si rien en Europe ne peut se faire contre l’Allemagne et la France, il n’est pas assuré dans le contexte européen d’aujourd’hui que le tandem franco-allemand ait la force d’entraînement requise.
Le président américain sur le départ du Canada pour Singapour, le 9 juin 2018.
Saul Loeb/AFP
Au G7, Donald Trump n’a fait que pousser à l’extrême une posture américaine rétive à toute contrainte qui pourrait nuire à la sécurité, à l’identité, aux intérêts des « vrais » Américains.
Olaf Scholz (à droite), le leader par intérim du (SPD), aux côtés du trésorier du parti, Dietmar Nietan, le 4 mars, à Berlin, à l'annonce des résultats.
Michael Kappeler/AFP
Les rapports entre les deux formations de la coalition gouvernementale risquent d’être plus conflictuels que dans le passé parce que le SPD, affaibli, cherchera à s’affirmer contre la CDU-CSU.
Le président François Mitterrand (G) et le chancelier allemand Helmut Kohl se tiennent la main en écoutant les hymnes nationaux français et allemand lors d'une cérémonie de réconciliation commémorant le souvenir des soldats français et allemands tombés pendant les deux guerres mondiales et scellant l'entente retrouvée, le 22 septembre 1984 à Douaumont, près de Verdun.
Marcel Mochet/AFP
L’année 2018 marque la fin du Centenaire de la Première Guerre mondiale : tirons un premier bilan de ce que ce Centenaire a signifié pour les relations franco-allemandes.
Angela Merkel et Martin Schulz à Berlin, le 12 janvier 2018.
John Macdougall / AFP
L'accord de principe entre le SPD et la CDU renforce momentanément la position de la chancelière. Mais Angela Merkel sait que son nouveau mandat, si elle l’obtient, sera le dernier.
Défilé militaire franco-allemand, en juillet 2012, à Reims pour célébrer le 50ème anniversaire de la rencontre entre Charles de Gaulle et Konrad Adenauer.
Garitan/Wikimedia
A l’heure où le Conseil européen officialise le lancement de l’Europe de la défense, retour sur le rôle du couple franco-allemand dans la résurrection du chantier de l’Europe de la défense.
Angela Merkel en discussion avec Martin Schulz (de dos), au Bundestag, le 21 novembre dernier.
Odd Andersen / AFP
Alexandre Faure, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Les commentateurs retiennent leur souffle : et si Angela Merkel échouait à former une nouvelle coalition ? Mais ne devrait-on pas plutôt avoir peur d’une nouvelle « grande coalition » en Allemagne ?
La chancelière, en phase d'observation, lors d'un sommet à Tallinn (Estonie), fin septembre 2017.
Ilmars Znotins/AFP
L’impression générale qui se dégage des débats politiques de ces derniers jours en Allemagne est que la direction du SPD cherche comment justifier une nouvelle grande coalition avec Merkel.
Le président de la République, Frank-Walter Steinmeier, lors d'une conférence de presse à Berlin, le 20 novembre 2017.
John Macdougall/AFP
« Il est préférable de ne pas gouverner plutôt que de mal gouverner » : ces quelques mots du leader des libéraux ont plongé l’Allemagne dans une crise politique sans précédent.
Angela Merkel (ici le 19 novembre, à Berlin), touchée mais pas coulée.
Tobias Schwarz/AFP
L’Allemagne entre dans une période accrue de turbulences alors qu’Angela Merkel estime que le pays a besoin de continuité face à la crise migratoire et à la montée des populismes en Europe.
Angela Merkel, au siège de son parti, la CDU, le 25 septembre.
Tobias Schwarz/AFP
Un séisme de moyenne amplitude s’est produit lors des législatives du 24 septembre : malgré le succès de l’extrême droite, l’exercice de la démocratie en Allemagne n’est pas altéré.