Soixante-dix ans après la découverte de la structure de l’ADN, on sait modifier les génomes humains. Zooms sur trois enjeux majeurs : héritabilité, régulation, équité dans l’accès aux soins.
De nouvelles études génétiques prétendent pouvoir déterminer notre intelligence ou nos risques de développer des maladies, mais tout n’est pas inscrit dans notre ADN.
Une nouvelle étude démontre que le microbiote intestinal n’aurait que peu ou même pas d’effet sur notre poids, notre métabolisme et notre risque de développer des maladies chroniques.
Le chromosome Y humain pourrait disparaître avec le temps, mettant notre espèce en péril. Mais certains rongeurs se sont très bien débrouillés sans lui – et nous savons maintenant comment.
La race des chiens détermine de nombreux aspects de leur personnalité. Mais les propriétaires jouent également un rôle important dans le caractère de l’animal.
Le risque de développer des complications oculaires est élevé chez les jeunes souffrant de diabète de type II, qui affecte de plus en plus d'enfants et d’adolescents, notamment les plus sédentaires.
En France, les tests génétiques sont très encadrés et permettent seulement de rechercher une pathologie par test. Pourquoi ne pas réutiliser ces données pour faire avancer d’autres études ?
Le prix Nobel de physiologie ou de médecine pour 2022 a été attribué à Svante Pääbo, dont les découvertes ont été déterminantes pour la compréhension de notre histoire évolutive.
Selon une recherche, les différences génétiques entre les populations influenceraient les échanges commerciaux internationaux, comme la distance géographique et les particularités culturelles.
Leurs travaux sont contemporains et se complètent parfaitement… Mais si Mendel, père de l’hérédité, a lu Darwin, rien ne dit que le naturaliste anglais lui a rendu la politesse. Retour sur ce mystère.
Bien identifier un cancer est la clé pour lancer le bon traitement. Les oncologues disposent d’une nouvelle aide génétique : le « méthylome ». De quoi s’agit-il ? Décryptage d’une révolution en cours.
Les maladies et afflictions physiques et mentales qui frappent les maisons régnantes de Westeros, dans la fiction, ont bien des points communs avec l’histoire réelle des monarchies européennes.
La méduse immortelle « Turritopsis dohrnii » est capable d’échapper à la mort. Les mécanismes moléculaires impliqués dans sa longévité ont été révélés par des chercheurs de l’Université d’Oviedo.
Johanna Fite, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) dan Fabrice CHANDRE, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Les maladies transmises par les moustiques causent un million de décès chaque année dans le monde.
La diversité génétique est capitale pour la survie des écosystèmes. Des engagements internationaux sont plus que jamais nécessaires et maintenant réalisables pour optimiser sa protection.
Chercheur au Centre de recherche de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec et Professeur titulaire au Département de médecine, Université Laval
Maître de Conférences (HDR) à Sorbonne Université, ISYEB - Institut de Systématique, Evolution, Biodiversité (CNRS, MNHN, SU, EPHE, UA), Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)