On a longtemps pensé que la vie avait évolué de l’eau à la terre, mais certains animaux auraient fait le chemin inverse. Rencontrez cette drôle de sirène.
Le sable de nos plages qui semble inépuisable se renouvelle en réalité très lentement et constitue la seconde ressource minérale la plus exploitée par l’homme après l’eau.
Originaire du Pacifique Sud et de l’océan Indien, le poisson-lion a désormais élu domicile dans d’autres régions du monde. En Mer méditerranée, ce prédateur redoutable dévaste les écosystèmes marins.
Les récifs coralliens abritent quantité d’espèces alors même que la nourriture y est rare. L’explication ? La présence d’étonnants petits poissons, que la faune locale dévore comme des bonbons.
Des technologies innovantes permettent de réaliser de véritables échographies des fonds marins avec les épaves qui s’y trouvent. l’exemple du Cobetas, échoué en rade de Brest depuis 1918.
En absorbant du CO₂, l’océan limite l’augmentation de l’effet de serre. Mais au rythme actuel des émissions humaines, cette absorption entraîne une dangereuse acidification des eaux.
Pollutions, surexploitations, compétitions, l’avenir de l’océan est alarmant. Alors que la journée du 8 juin lui est dédiée, apprenons des initiatives locales pour sa gestion durable.
Une étude évalue pour la première fois à l’échelle mondiale l’impact du changement climatique sur la couleur des océans. Comment ? À partir de la vie mouvementée des communautés de phytoplancton marin.
Non seulement la glace du pôle Nord peut se casser, mais elle peut aussi fondre. Et cela met en danger les ours polaires, les phoques, les manchots, mais aussi les êtres humains !
Fracturation, écoulements, libération d’icebergs… la calotte glaciaire de l’Antarctique évolue au rythme du changement climatique, contribuant à la hausse du niveau des mers.
La surconsommation de plastique et les déchets qu’elle génère ont un impact fort sur l’environnement marin : la lutte contre ce fléau doit passer par une réduction de la production de plastique.