Le Pôle Léonard de Vinci est composé de quatre établissements d’enseignement supérieur délivrant des diplômes reconnus qui couvrent des champs disciplinaires complémentaires, notamment dans le secteur du numérique : une école de commerce, l’EMLV (Ecole de Management Léonard de Vinci) ; une école d’ingénieurs, l’ESILV (Ecole Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci), une école du digital, l’IIM (Digital School) et un établissement de formation continue, De Vinci Executive Education. 1 Laboratoire de recherche commun : De Vinci Research Center (DVRC) et 1 Centre d’innovation : l’Institute for Future Technologies (IFT).
En 2022, il compte 9500 étudiants et apprenants (dont plus de 2700 en alternance) au sein de ses 3 écoles et de son activité de formation continue, + de 18000 diplômés, 460 collaborateurs (dont + de 200 enseignants et enseignants-chercheurs) et plus de 1700 vacataires issus du monde universitaire et professionnel.
Créées en 1995, les écoles sont rassemblées au Pôle Léonard de Vinci à Paris-La Défense et depuis 2022, à Nantes. Le campus s’organise autour de valeurs communes que sont l’hybridation, la professionnalisation, l’internationalisation, l’ouverture sociale et le sport. L’hybridation est le résultat de la transversalité qui existe entre les écoles : cours & projets en commun, développement progressif et intensif des soft skills, incubateur, FabLab, vie associative, activités sportives, double-diplômes… Ingénieurs, managers, designers apprennent à vivre et à travailler ensemble au-delà des frontières de leur propre cursus.
Les jeunes sont les mieux à même de comprendre les emplois du futur. Il faut leur faire confiance pour qu’ils aient enfin espoir d’intégrer le monde du travail.
À l’heure où l’état d’urgence semble s’installer en France dans la durée, comment peut-on intégrer cet état de fait dans le management des hommes en entreprise ?
Le Conseil constitutionnel recadre l’état d’urgence décidé par le gouvernement en interdisant la saisie des données informatiques. Analyse de cette position et de ses conséquences.
Dans les « entreprises libérées » on fait confiance, on incite au volontariat et on supprime les échelons intermédiaires. Cette liberté semble fonctionner… et faire des émules.
Le marché des banques en ligne progresse vite, y compris dans les pays émergents. À ces nouveaux business models correspondent aussi de nouveaux métiers.
Le visionnage des épisodes de la « 7ᵉ Compagnie » offre des cas de management intéressants. Le sergent-chef Chaudard y est l’incarnation de la bienveillance… et cette posture est efficace.
Le Conseil d’État le 22 janvier a suspendu une assignation à résidence décidée dans le cadre de l’état d’urgence. Le gouvernement doit mieux concilier libertés et protection des intérêts de la nation.
Et si, demain, grâce à l’intelligence artificielle, vos désirs de consommateurs étaient exaucés avant même d’être formulés ? Les pistes sont prometteuses mais il y a de sérieuses limites.
Selon la rumeur, l’iPhone 7 n’aurait plus de prise jack pour écouteurs. Quelle innovation disruptive prépare donc Apple ? Et comment va-t-elle la présenter au marché ?
Pourquoi l’engouement des consommateurs pour les objets connectés à Noël sera suivi de la « fatigue » de ces consommateurs. Attentes contradictoires, faible valeur d’usage ou produits trop complexes…
Comment les industriels s’organisent en amont pour pousser les consommateurs vers des achats ou des comportements plus respectueux de leur environnement.