Alain Froment, Institut de recherche pour le développement (IRD) and Fernando Ramirez Rozzi, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Un trou dans un crâne de vache vieux de 3 000 ans soulève de nombreuses questions : soin vétérinaire, fabrication d’un artefact ou chirurgie expérimentale ? Enquête au temps du néolithique !
Cyril Marcigny, Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP)
Véritable conservatoire archéologique, ce site offre un champ d’investigations étend sur les modalités d’occupation des lieux en 1944, et des comportements sociaux en milieu confiné.
La Cité de l'Architecture et du Patrimoine consacre en ce moment une exposition au Crac des Chevaliers, célèbre forteresse édifiée au cœur du Comté de Tripoli au XIIe siècle.
De récents travaux archéologiques ont montré les capacités de navigation des populations premières de l’archipel antillais et l’importance des liens entre les communautés des différentes îles.
De nouvelles techniques d’analyse chimique des éléments anciens ciblant les protéines permettent d’en savoir plus sur les objets d’art et d’archéologie.
Peut-on tout faire au nom de la science et de la connaissance ? Le cas d’une momie de jeune enfant soulève, enfin, des questions éthiques au sein de la communauté des archéologues.
Jérome Thomas, Université Paul Valéry – Montpellier III
Les modifications de la forme du crâne retiennent l’attention des chercheurs (archéologues, anthropologues, historiens) depuis le XIXᵉ siècle. Mais que savons-nous, au juste, de ce qui les motivait ?
Le statut d’icône de la reine, objet de tous les fantasmes depuis la découverte du buste qui la rendit célèbre, traverse les âges et ne cesse d’inspirer le cinéma et la pop culture.
« Treasures from the wreck of the unbelievable », tel était le mystérieux titre de la dernière exposition présentée au palazzo Grassi et à la Punta della Dogana, à Venise.
Michelle Elliott, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
L’intensification des inégalités travers le temps semble due à une dépendance croissante vis-à-vis de l’agriculture, ainsi qu’à la complexification des systèmes politiques.
Les plans, relevés topographiques, photographies ou films, carnets de fouille donnent accès aux états des vestiges antérieurs à la destruction. Ils sont précieux en vue d’une restitution de données.
Voici pourquoi les gènes de l'autisme ont été conservés au cours de l'évolution. Un autre regard sur la préhistoire, à l'occasion de la journée mondiale de sensibilisation à l'autisme, le 2 avril.
Les déformations crâniennes portent en elles les stigmates de sociétés dites « peu évoluées » ; en réalité, il s’agit d’une pratique universelle dont la connotation spirituelle est indéniable.