Une dent néandertalienne a été découverte en Serbie. Elle aide à combler les lacunes dans les fossiles humains de cette importante région géographique.
L’archéologie, c’est top moderne ! Le livre Retour vers le paléo nous emmène découvrir les bonnes idées de nos ancêtres, du street-art à la bière et au langage animé.
La licorne est un animal fétiche de la « start-up nation »… Mais revisitons plutôt le passé à la découverte d’Elasmotherium, une bête à corne pas mytho.
Alain Froment, Institut de recherche pour le développement (IRD) and Fernando Ramirez Rozzi, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Un trou dans un crâne de vache vieux de 3 000 ans soulève de nombreuses questions : soin vétérinaire, fabrication d’un artefact ou chirurgie expérimentale ? Enquête au temps du néolithique !
Une sépulture vieille de 25 000 ans révélant une mère Sapiens et son fœtus Néandertal… Le documentaire qui le raconte est un documenteur, moyen de réfléchir sur la vérité et la science.
De nouvelles techniques d’analyse chimique des éléments anciens ciblant les protéines permettent d’en savoir plus sur les objets d’art et d’archéologie.
Jérome Thomas, Université Paul Valéry – Montpellier III
Les modifications de la forme du crâne retiennent l’attention des chercheurs (archéologues, anthropologues, historiens) depuis le XIXᵉ siècle. Mais que savons-nous, au juste, de ce qui les motivait ?
Comment déterminer les âges de la vie où se sont produits les divergences entre deux espèces ? Grâce aux horloges moléculaires : l’ADN comme minuterie.
Michelle Elliott, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
L’intensification des inégalités travers le temps semble due à une dépendance croissante vis-à-vis de l’agriculture, ainsi qu’à la complexification des systèmes politiques.
Ce processus neurotypique – une reconnaissance oculaire du général au particulier – vient en quelques sorte confirmer la pertinence des techniques de lecture rapide.
Les plans, relevés topographiques, photographies ou films, carnets de fouille donnent accès aux états des vestiges antérieurs à la destruction. Ils sont précieux en vue d’une restitution de données.
Les plantes que nous cultivons sont très différentes des espèces sauvages qui leur sont apparentées. Est-ce le fruit de la sélection naturelle ou d’une volonté délibérée des hommes ?
Professeur à Long Beach, Université de Californie et président de la Commission Internationale de Stratigraphique, California State University, Long Beach