Le rythme est un élément fondamental de notre vie. Nous découvrons seulement à quel point et comment notre cerveau réussit à le percevoir et à l’utiliser pour guider le moindre de nos mouvements…
Une nouvelle étude met en lumière les bénéfices cognitifs de l’activité physique alors qu’une autre semble dire le contraire, alimentant le débat scientifique sur la question. Voici ce qu’il en est.
La peur est une réaction bien naturelle qui se mue parfois en phobies handicapantes. D’où vient-elle ? Peut-on la manipuler ? Les neuroscientifiques enquêtent.
Comment créons-nous notre vision du monde, clef indispensable pour interagir avec lui ? Pas comme on l'a longtemps cru… Plongée dans un pouvoir méconnu de notre cerveau (et des psychédéliques).
Suivre un traitement long en cas de maladie chronique est difficile, et ce n’est pas une question de volonté. Voici les phénomènes neurologiques impliqués… et comment lutter contre le phénomène.
Les humains peuvent être réanimés au bout de 10 minutes, ce qui signifie que nous pouvons avoir un certain niveau de conscience immédiatement après la mort.
La stimulation magnétique transcrânienne est une technique permettant de mieux comprendre le fonctionnement de notre cerveau, qui est également applicable en médecine.
Un traitement de 18 mois au lecanemab ralentit de 27 % la perte fonctionnelle et cognitive chez des personnes atteintes de maladie d’Alzheimer légère. Mais ce n’est que le premier pas vers une véritable cure.
L’altération des récepteurs de l’insuline au niveau des vaisseaux sanguins entre le sang et le cerveau, contribuerait à la résistance à l’insuline observée dans l’Alzheimer.
L’excès d’amyloïde bêta dans le cerveau a longtemps été considéré comme la cause principale de la maladie d’Alzheimer. De nouvelles recherches semblent suggérer le contraire.
Quand on écoute de la musique, notre cerveau prédit ce qu’il va se passer ensuite. Cette prédiction va affecter notre plaisir, ou notre rejet, pour une chanson.
Un Français sur cinq connaitra un jour un épisode dépressif. Malgré sa fréquence, ce trouble reste mal expliqué… et parfois impossible à traiter. La kétamine pourrait offrir une piste novatrice.
Les neurones situés dans les régions du cerveau responsables du déclenchement des crises d’épilepsie sont beaucoup moins diversifiés que les neurones des régions non responsables de celles-ci.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)