Comme d’autres gros animaux, l’éléphant développe moins de cancers que l’humain, alors qu’il vit plus longtemps et qu’il possède beaucoup de cellules pouvant évoluer en tumeur.
David Clode/Unsplash
Les gros animaux développent moins de cancers que l’humain, alors qu’ils possèdent beaucoup de cellules, chacune pouvant éventuellement évoluer en tumeur. Comment expliquer ce paradoxe ?
Paysage sonore sous-marin : sources naturelles et anthropiques. Illustration de Siegrid Design pour le projet (S)E(A)SCAPE.
Les premières études scientifiques spécialisées ont confirmé la présence de baleines bleues aux Seychelles.
Les toxines issues de la pollution s’accumulent dans le corps des épaulards par l’intermédiaire des petits poissons qu’ils consomment.
(Audun Rikardsen)
L’accumulation de polluants synthétiques dans la graisse des orques nuit à la santé de ces mammifères marins. Il est urgent d’agir pour résoudre ce problème.
Un orque proche d'un bateau de pêche dans le détroit de Gibraltar.
Nacho Goytre/Shutterstock
Plus de 500 interactions entre orques et bateaux ont été recensées depuis 2020, certaines se sont soldées par un navire coulé. Que peut-on dire de ces comportements ?
Les hyènes sont capables d'inventer de nouveaux comportements par le jeu.
Dmitri Gomon/Shutterstock
Traditionnellement, les philosophes ont séparé l’être humain de l’animal par notre capacité à inventer. Et pourtant ils inventent ! L’occasion de repenser notre vision de l’animalité.
Les orques sont les plus grands prédateurs des océans.
(Shutterstock)
En analysant de petits échantillons de graisse d’orque, les scientifiques peuvent découvrir leur régime alimentaire. Cela a des répercussions sur notre compréhension de l’évolution des écosystèmes.
Les drones ont changé la façon dont les scientifiques étudient les baleines et les dauphins. Pour le meilleur et pour le pire.
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Les drones sont une nouvelle technologie qui permet aux chercheurs d’observer et d’enregistrer le comportement des baleines à distance. Mais si les drones volent trop bas, ils modifient le comportement des baleines.
Plusieurs produits chimiques de la famille des retardateurs de flamme, ajoutés à une gamme de produits de consommation courante, se retrouvent dans l’environnement et contaminent la faune aquatique.
L'aspect sonore du milieu marin a souvent été sous-estimé, principalement parce qu'il n'est pas audible par l'oreille humaine.
(Shutterstock)
Thomas Uboldi, Université du Québec à Rimouski (UQAR)
L’océan est souvent considéré comme un univers silencieux. Or, aujourd’hui, de nombreuses études soulignent l’importance du paysage sonore pour une multitude d’espèces marines, petites et grandes.
Le loup d’Éthiopie vit en populations éparses dans des chaînes de montagnes reculées d’Éthiopie. Sa remarquable résilience permet de croire qu’un rétablissement de l’espèce est possible si on parvient à tenir en échec des menaces telles que la perte et la dégradation de son habitat.
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Les rapports sur la disparition de la biodiversité mondiale sont plus complexes et encourageants qu’ils ne le laissent paraître. Des données plus nuancées pourraient sauver certaines espèces.
Anthracotherium et Elomeryx, deux anthracothères,proches parents des hippopotames modernes et cousins des cétacés.
Apokryltaros / Wikipedia
Les bélugas utilisent le son pour communiquer, naviguer dans la mer et trouver de la nourriture. Mais l’ouverture des eaux arctiques pourrait affecter la santé et la survie des bélugas.
Et si la ménopause était utile aux générations suivantes ?
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Carla Aimé, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
D’un point de vue évolutif, la ménopause est intéressante pour notre espèce, en permettant une meilleure transmission des connaissances vers les plus jeunes.
Quand Mickey se pique de chasser la baleine…
Floyd Gottfredson / Disney
Les animaux ont-ils leur propre culture ? Une chercheure étudiant la culture des baleines soutient que oui. Mieux les comprendre est peut-être un moyen de les sauver de l’extinction.
Une baleine plonge dans la baie de Disko, au large de la côte ouest du Groenland, là où le squelette hybride d’un crâne de béluga croisé avec celui d’un narval a été découvert.
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Pascal Tassy, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Le Muséum de Bordeaux Sciences et Nature a rouvert ses portes en mars dernier après complète rénovation. Pascal Tassy, membre du conseil scientifique, explique ses choix de présentation.
Deux mégalodons en balade cinématographique.
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Le film « En eaux troubles » est bien placé au box office. L’occasion de se plonger dans les eaux préhistoriques à la rencontre de redoutables monstres marins.
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)