La rareté des fossiles de chauve-souris est bien plus qu'un simple casse-tête paléontologique, elle a aussi des répercussions pour les stratégies de conservation des chauve-souris aujourd'hui.
Nommer le vivant est une science à part entière.
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Nicolas Séon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN); Peggy Vincent, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) et Romain Amiot, Université Claude Bernard Lyon 1
Qu’ils vivent dans l’eau douce ou salée, les dauphins ne peuvent pas directement boire pour s’hydrater, mais se servent de leur nourriture.
Où doit-on se placer par rapport à l'animal ?
Nathan Cima/Unsplash
Pascal Tassy, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Homme ou animal, homme et animal, homme-animal, homme sage versus animal machine… Qu’est-ce qui distingue l’humain des autres animaux ?
Bien que la vue et le goût soient les principaux sens par lesquels les serpents perçoivent leur environnement, notre étude permet de constater que l’ouïe joue un rôle important dans le répertoire sensoriel des serpents.
(Christina Zdenek)
Les spécialistes savent depuis longtemps que les serpents peuvent ressentir les vibrations sonores dans le sol. Or, une nouvelle étude démontre qu’ils peuvent également percevoir les sons aériens.
La découverte de ce qui semble être un clitoris fonctionnel offre une nouvelle perspective sur l'accouplement des serpents.
(Luke Allen)
La première description du clitoris des serpents pourrait changer ce que nous pensons savoir sur l’accouplement et la parade nuptiale chez les reptiles rampants.
La méduse immortelle «Turritopsis dohrnii».
(Daniel Maeso Miguel)
La méduse immortelle « Turritopsis dohrnii » est capable d’échapper à la mort. Les mécanismes moléculaires impliqués dans sa longévité ont été révélés par des chercheurs de l’Université d’Oviedo.
Tatou à trois bandes du Sud (Tolypeutes matacus) musée Vert, Le Mans, France MHNLM 2003.28.200.
musées du Mans
Cet animal américain, bien différent de la faune connue en Europe, a suscité la curiosité des Occidentaux dès sa découverte à l’époque moderne et a figuré dans la plupart des cabinets de curiosité.
Alors que la pandémie s’éternise, l’envie d’adopter un chiot ne fait que croître.
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Comment, de nos jours, justifier d’ôter la vie à un animal à des fins scientifiques ? Il convient de ne pas confondre considérations animalistes et environnementalistes.
En étudiant le sommeil des animaux, nous pouvons comprendre comment améliorer le sommeil chez l’homme, mais aussi ajuster nos stratégies de protection des espèces menacées.
Une chauve-souris Diphylla ecaudata.
Gerry Carter/Wikimedia
Enrico Bernard, Universidade Federal de Pernambuco (UFPE)
Une étude récente démontre que la chauve-souris vampire poilue de l’état de Pernambouc, au Brésil, se nourrit de sang humain alors qu’elle ne consommait jusqu’alors que du sang d’oiseau.
Isabelle Autran, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Dans son ouvrage « La Forme animale » paru en 1948, le biologiste suisse propose une approche phénoménologique de la nature qui laisse toute sa place à l’émerveillement.
Directrice, Direction de la Recherche et des Etudes Doctorales (DRED), Université Paris Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Enseignant-chercheur en systématique animale à l'ISYEB (MNHN) et à l'Université Technique de Braunschweig., Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Directrice de Recherche au CNRS et au Muséum National d'Histoire Naturelle (MECADEV - mécanismes adaptatifs et évolution), Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)