Le véganisme illustre un changement de paradigme, marqué par une prise de conscience et une évolution des mentalités vers des pratiques alimentaires plus éthiques et durables.
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En remettant en question les normes alimentaires dominantes, le véganisme s’inscrit dans un contexte de débats polarisés.
Comme d’autres gros animaux, l’éléphant développe moins de cancers que l’humain, alors qu’il vit plus longtemps et qu’il possède beaucoup de cellules pouvant évoluer en tumeur.
David Clode/Unsplash
Les gros animaux développent moins de cancers que l’humain, alors qu’ils possèdent beaucoup de cellules, chacune pouvant éventuellement évoluer en tumeur. Comment expliquer ce paradoxe ?
La peur est-elle l’émotion qui domine lors des rencontres entre loups et humains ? Une étude menée en France montre que la surprise et l’intérêt vont souvent l’emporter sur les émotions négatives.
Les chiens guides d'aveugle doivent accomplir un véritable travail.
Roman Chazov/Shutterstock
Une communauté de macaques au Japon présente un taux élevé d’handicapés qui survivent grâce à leur souplesse comportementale et aux soins maternels.
La Britannique Kate French pendant l'épreuve équestre individuelle féminine lors de l'épreuve de test de pentathlon moderne pour les Jeux olympiques de Tokyo 2020, le 28 juin 2019.
AFP / Toshifumi KITAMURA
En compétition, les violences envers les chevaux sont de moins en moins nombreuses, mais nous avons de plus en plus de mal à les tolérer – à juste titre. Comment repenser la relation humain-animal dans le cadre sportif ?
Premier exemple de culture chez les animaux, les macaques japonais développent des comportements spécifiques à certains groupes.
Cédric Sueur/Université de Strasbourg
Une nouvelle haie n'offrira pas avant longtemps la richesse en espèces d’une haie ancienne détruite ailleurs ; il faudra pour cela plusieurs siècles, si les espèces n’ont pas disparu entre-temps.
Un loup dans le parc de Yellowstone, au États-Unis.
La réintroduction du loup dans ce parc national est un projet pionnier du ré-ensauvagement
Oregon State University/Yellowstone Park/Flickr
Si certains préconisent la libre évolution, d’autres préfèrent se baser sur des objectifs de biodiversité à atteindre. Deux approches différentes qui correspondent à deux visions de la nature.
Faut-il interpréter les comportements animaux en prenant l'humain comme référentiel, ou au contraire faire l'hypothèse d'une séparation stricte qui rend notre espèce singulière ?
Saketh Upadhya/Unsplash
Alors que la notion de spécisme est de plus en plus mobilisée pour décrire les relations des humains aux autres animaux, il faut cependant bien la distinguer de l’anthropocentrisme.
Le bruant proyer (Emberiza calandra) a vu sa population décliner en Europe, comme d’autres espèces liées aux milieux agricoles.
Luiz Lapa / Flickr
Une étude d’une ampleur inédite a montré le lien entre déclin des oiseaux et agriculture intensive. Une coïncidence, plaide le discours de l’agrochimie. Les chiffres sont pourtant sans équivoques.
Les habitats utilisés tout au long de la vie du flétan et les mouvements effectués entre ceux-ci sont difficiles à caractériser.
(Charlotte Gauthier)
L’éléphant de forêt, en danger critique d'extinction, est un enjeu de société au Gabon, où certains l'estiment trop présent. Mais cette opinion résulte d'erreurs dans l'interprétation des études.
On a constaté que l’on mentionnait de plus en plus souvent un animal dans la rubrique nécrologique de son compagnon humain.
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Chris Miller, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Au fil des ans, les notices nécrologiques se sont allongées, laissant plus de place pour mentionner les animaux de compagnie, les passe-temps et les passions de la personne décédée.
En marchandisant leurs corps, en invisibilisant leurs expériences, beaucoup de nos pratiques font souffrir les animaux et causent leur mort précoce, à des échelles massives.
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La mise à mort des animaux, comme révélée par les vidéos de L214, montrent l’urgence vitale de mettre en place un système plus inclusif et considérant tous les animaux.
Les dauphins peuvent communiquer de manière très efficace.
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L’intelligence artificielle peut traiter un grand nombre de vocalisations de poulets et identifier des schémas dans les communications entre volatiles.
Le singe cloné, âgé de 17 mois.
Zhaodi Liao et al. / Nature
Lluís Montoliu, Centro Nacional de Biotecnología (CNB - CSIC)
L’auteur retrace les étapes des techniques de clonage chez les mammifères et rappelle qu’elles restent inefficaces et inutilement applicables à l’homme.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Directrice, Direction de la Recherche et des Etudes Doctorales (DRED), Université Paris Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières