Le confinement semble avoir été plutôt bénéfique pour les parents, qui ont signalé une amélioration de leurs conditions, tant sur le plan parental que relationnel.
À une période où l’on est fortement incité à manger sainement, le goûter, associé aux produits sucrés et à l’enfance, a-t-il encore la cote ? Et s’il s’était réinventé avec la pandémie ?
Les enjeux les plus criants au Québec sont la disponibilité des places – plus de 50 000 enfants seraient inscrits sur la liste d’attente – la qualité des services et la rétention de la main-d’œuvre.
La pandémie a mis un frein à 30 ans d’amélioration de la participation des femmes au marché du travail. Ce constat est inquiétant, car il nuit à la relève féminine dans les postes de direction.
La fermeture des écoles et des services de garde en raison de la pandémie a eu un impact sur les mères universitaires. Elles sont moins en mesure de mener des recherches et d’écrire des articles.
Les services de garde sont essentiels au point de demeurer ouverts pendant la pandémie, mais les personnes sur la ligne de front ne bénéficient que de très peu de reconnaissance, notamment salariale.
Les parents doivent décider si oui ou non, ils enverront leurs enfants à l’école. Il y a plusieurs bonnes raisons de le faire, mais aussi beaucoup d’inquiétudes… Il faut apprendre à naviguer à vue.
L’école maternelle doit-elle mettre l’accent sur l’instruction ou privilégier le développement de l’enfant ? En débat depuis plus d’un siècle, ces finalités sont interrogées par le confinement actuel.
Ceux qui prétendent que les positions de Scheer sur l'avortement et le mariage gay sont hors de propos tant qu'il refuse de rouvrir le débat font fausse route.