Atteindre une égalité réelle entre les langues officielles, c’est donner un coup de pouce au français. À cette fin, le projet de loi C-32 introduit des mesures ambitieuses.
Le profil le plus commun du Français qui vit au Canada est un quadragénaire, né en France, qui travaille et vit au Québec, plus précisément à Montréal!
Service personnalisé, plate-forme dédiée… Un rapport sur la consommation audiovisuelle remis au CSA en 2019 pourrait jeter les bases d’un modèle de diffusion de la Ligue 1 inédit.
Les démarches de l’Université Laurentienne pour se mettre à l’abri de ses créanciers sont un exercice comptable qui lui permet de faire fi de son mandat public à l’égard de la francophonie ontarienne.
Différentes recherches en sciences du langage ou en sociologie, soulignent les limites de la logique « formation en langue = intégration ». Retour sur une thèse qui en explore les effets.
Une étude mondiale montre que la France fait partie des pays où les usagers ont le moins de réticences à partager une partie de leur vie privée avec des entreprises tierces.
Nous devons favoriser le dialogue avec la jeunesse québécoise francophone, anglophone et allophone et l’accompagner dans cette découverte de la richesse de la langue française.
Le projet de loi reconnait que les deux langues ont besoin d’un traitement différent. Cette approche asymétrique aux langues officielles constitue un changement remarquable dans la politique fédérale.
Autant les fonctionnaires francophones qu’anglophones sont mal à l’aise d’utiliser le français dans les milieux de travail où le bilinguisme est requis. Comment s’en sortir ?
La fête de la Saint-Nicolas, célébrée seulement sur une partie du territoire français, est associée à des débats linguistiques dignes du match pain au chocolat vs chocolatine.
La majorité des francophones hors Québec ne croit pas que le français soit en péril, tandis que les Franco-Québécois s’inquiètent de l’avenir de leur langue dans une proportion similaire.
La chute de l’exposition à la langue française pendant le confinement pour les enfants instruits en français inquiète parents et éducateurs. Il faut se servir de la langue pour ne pas la perdre.
François Larocque, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa and Linda Cardinal, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Les règles d'étiquetage sont essentielles car elles normalisent l’égalité du français et de l’anglais en leur accordant la même visibilité sur les produits. Elles assurent aussi la sécurité du public.
En ce mois du 50ᵉ anniversaire de la Francophonie, il est temps de réfléchir à l'histoire inédite des connexions françaises à travers la frontière canado-américaine.
La prescription d’un corpus de textes peut-elle aller de pair avec l’ambition de transmettre le goût de la lecture aux jeunes ? La réforme des programmes de lettres pose la question.
Au Sénégal avec 22 langues locales codifiées, la diffusion des textes internationaux pose la question de savoir dans quelle(s) langue(s) les populations doivent être informées.
Pour les ouvriers canadiens-français d'avant la Révolution tranquille, l'anglais était la langue des boss, et il fallait sinon la parler, du moins la comprendre.
Dire « au coiffeur » : grossière erreur. Dire « chez le coiffeur » : marque de distinction. Mais… pourquoi ? S’est-on déjà posé la question ? Extrait de l’ouvrage à paraître « Le français est à nous ».
Professor, Research Chair in Language Rights, Faculty of Law | Professeur, Chaire de recherche Droits et enjeux linguistiques, Faculté de droit. 2021 Fellow, Fondation Pierre Elliott Trudeau Foundation, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa