Les lentilles d’eau sont de petites plantes aquatiques qui peuplent la surface des eaux douce à travers le monde. Bien qu’elles puissent paraître banales, elles sont une excellente source de protéines.
Si la lutte pour la cause animale est historiquement plutôt anticapitaliste, le véganisme ne devient-il pas, face au développement de produits industriels véganes, un mode de consommation comme un autre ?
Les légumineuses présentent un intérêt nutritionnel certain. Mais elles sont jugées peu digestes et les phyto-estrogènes du soja inquiètent. Apprenons à les cuisiner pour en profiter sans risques ni inconforts.
Le terme « viande », qui ne pourra plus être accolé à l’adjectif « végétal », n’a pas toujours désigné que des produits faits de protéines animales. Comment commercialiser ces produits dorénavant ?
Les aliments « végan » sont perçus comme n’ayant pas d’ingrédients d’origine animale par la plupart de consommateurs, mais peuvent en fait contenir des protéines de lait.
La plupart d’entre nous savons vaguement qu’il ne faut pas manger trop de viande rouge, mais pourquoi en est-il ainsi ? Et le type de viande fait-il vraiment une différence ?
Magali Trelohan, Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA)
Pour combattre l’image ancrée selon laquelle les hommes ne pourraient pas se passer de la viande, mieux vaut les pousser à l’expérience que d’utiliser des arguments rationnels.
La construction d’une chaîne alimentaire plus écologique, plus locale et adaptée aux changements climatiques implique de relever une série de défis scientifiques.
Devenir végan signifie notamment se passer de fromage. Pour remplacer cet aliment très apprécié, des substituts sont commercialisés. Mais leur valeur nutritionnelle n’est pas forcément au rendez-vous.
Adopter une alimentation qui contient des protéines d’origine végétale peut comporter de nombreux bénéfices. Découvrez des astuces pratiques pour les intégrer à votre menu.
Mariana Lamas, Northern Alberta Institute of Technology
La « viande végétale » remplacera-t-elle le steak demain ? Les scientifiques arrivent de mieux en mieux à imiter texture, goût… Au point parfois de réussir à tromper les amateurs de viande eux-mêmes
La consommation de viande, qui connaît une croissance au niveau mondial, soulève nombre de questions environnementales et éthiques, boostant les offres alternatives.
Mariana Lamas, Northern Alberta Institute of Technology
Les régimes alimentaires à base de plantes peuvent être sains, mais attention aux ingrédients. Les substituts de viande fortement transformés peuvent être riches en graisses saturées et en sodium.
Le soja colonise les assiettes occidentales, et de nouvelles formes de consommation émergent. Cet aliment riche en molécules mimant les hormones estrogènes est-il bon ou mauvais pour la santé ?
À en croire certains, la viande « cultivée » en laboratoire n’aurait que des avantages : fin de la maltraitance animale, préservation de l’environnement… Mais la réalité est moins idyllique.
Proposer un burger végétal dont l’apparence, le goût et l’odeur ressemblent à s’y méprendre à du bœuf, tel est le défi qu’entend relever la start-up Impossible Foods.
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Directrice de recherche honoraire. Coordinatrice du Réseau National Alimentation Cancer Recherche (réseau NACRe) de janvier 2000 à septembre 2020, Inrae