L’insécurité alimentaire est un problème particulièrement ressenti par les Inuits du nord du Canada. La solution pourrait passer par des systèmes alimentaires culturellement adaptés.
Le savoir traditionnel ancestral des peuples autochtones sur les plantes médicinales est à la base de la découverte scientifique de nouveaux composés bioactifs.
Maxime Thomas, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Hugo Asselin, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Mebarek Lamara, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) y Nicole Fenton, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les activités humaines peuvent affecter les plantes, ce qui a des conséquences pour les populations humaines qui les consomment.
Une nouvelle étude montre que la consommation de produits à base de canneberge réduit le risque d’infections urinaires à répétition chez les femmes, les enfants et les personnes qui y sont plus sensibles en raison d’interventions médicales.
Le bleuet sauvage, cette petite baie bleue qui ravit les papilles est très populaire en raison de ses qualités gustatives, mais aussi de ses bienfaits pour la santé. Mais comment est produit ce fruit ?
Tous les types de peau sont sensibles aux UVA émis par le soleil. Si les crèmes solaires protègent bien, l’ajout d’une catégorie d’antioxydants naturels pourrait encore renforcer cette efficacité.
Le sirop d’érable, en plus d’être un joyau du patrimoine culinaire canadien, est également un agent sucrant présentant une constitution chimique complexe.
Les régimes riches en légumineuses, céréales complètes, noix, et comptant moins de viande rouge et d’aliments transformés, sont bénéfiques pour la longévité.
Préserver le plus longtemps possible le « métabolisme de base sain » qui s’observe chez les populations jeunes pourrait être la clef pour vivre vieux et en bonne santé.