Une expérience montre que les migrants digitaux de la génération X n’apprécient pas l’aspect « machine » que peuvent revêtir les agents conversationnels qui reposent sur l’IA.
La recherche estime généralement que présenter des excuses publiques constitue la meilleure réponse à client mécontent. Toutefois, certains cas font exception.
L’altruisme lié au don reste éloigné du matérialisme, motivation première d’achat dans le luxe. Pour surmonter cet antagonisme, les marques doivent s’appuyer sur les points de vente, montre une étude.
Selon un travail de recherche, les entreprises qui se livreraient à trop d’explications quant à leurs pratiques en ligne risquent de développer de la suspicion chez leurs clients.
Le consommateur de presse écrite reste aujourd’hui peu sensible à la complémentarité de l’offre proposée sur différents supports, physiques et numériques.
Les relations entre élèves se construisent entre autres à partir des objets possédés. Ainsi, ne pas se conformer aux normes du groupe en matière de consommation, c’est risquer d’en être mis à l’écart.
L’absence de soft power et la priorité stratégique donnée au rapport qualité-prix freinent aujourd’hui les entreprises dans leur conquête des clientèles américaines et européennes.
Les recherches en biologie ont mis en évidence les singularités du sens de l’odorat, les sciences de gestion montrent son importance quand le consommateur mémorise et évalue un produit.
Dès les premiers mois de pandémie, plusieurs marques ont véhiculé une forme d’authenticité dans leurs communications, tentant – parfois sans succès – de se différencier.
Ce modèle développé aux États-Unis aide les clients à faire le choix entre les marques mais livre aussi des enseignements macro-économiques. Son adaptation en France pourrait être intéressante.
La crise a transformé les besoins des clients, qui se disent aujourd’hui plus sensibles aux communications numériques qui dépassent le seul champ commercial.
La mise en avant de la passion des artisans pour leur travail dans la communication permet notamment de répondre aux nouvelles aspirations des consommateurs.
Pour combler le manque de proximité avec les consommateurs, les marques peuvent miser sur la gamification, l’« edutainment » ou encore les dispositifs « phygitaux ».
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)