Négocier à distance offre davantage de flexibilité aux partenaires mais différents ingrédients nécessaires à des échanges gagnant-gagnant sont perdus. Au détriment, semble-t-il, des syndicats.
L’abstention aux élections nationales et locales n’est qu’un visage d’un désinvestissement plus profond de la vie publique, notamment dans le monde professionnel et syndical.
Les organisations collectives multiplient les initiatives innovantes dont les plus efficaces pourront à terme redessiner le secteur. Reste désormais à mieux coordonner leurs actions.
Robi Morder, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Alors que l’Union nationale des étudiants de France (UNEF) est au centre de polémiques qui dépassent le cadre de l’université, quelques éclairages sur l’histoire de ce syndicat étudiant.
Si le dialogue social favorise globalement la prévention, le dernier projet de texte des partenaires sociaux cantonne cependant la notion de contrôle au temps de travail à distance.
C’est au travers d’images et de témoignages saisissants que nous redécouvrons Solidarność, cette contestation polonaise ouvrière contre le régime communiste, devenue un mouvement international.
Robi Morder, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Alors qu'une enquête pour « détournement de biens publics » vient d'être ouverte autour de l'affaire du syndicat Avenir lycéen, retour sur l’histoire et les enjeux des syndicalismes lycéens.
Si les syndicats disposent des compétences adéquates et optent pour des stratégies conflictuelles, les PSE peuvent effectivement contribuer à limiter les suppressions de postes, souligne une étude.
La crise actuelle pourrait voir un changement dans les relations entre syndicats français et leurs interlocuteurs, marquées par une longue histoire de conflits.
Les tensions entre exigences de sécurité et maintien du travail sont aujourd’hui directement gérées, dans l’urgence, au sein des organisations. Une situation inédite.
Le contexte social démontre qu’il est urgent de réinventer la représentation des salariés et renforcer ainsi l’intelligence collective à l’ère du numérique.
Comment lutter syndicalement contre la souffrance au travail quand les directions sont dans le déni ? Nos recherches dans le secteur de l’industrie montrent différentes stratégies.
La mise en place de l’âge pivot à 64 ans appellerait notamment un renfort des dispositifs en faveur des chômeurs proches de la retraite, aujourd’hui insuffisants.
Professeur du Cnam, titulaire de la chaire Droit du travail et droits de la personne, Lise/Cnam/Cnrs, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Professeur des universités, sociologue de l'entreprise et de la négociation. Chercheur au Centre Max Weber, Lyon. Chercheur associé à Irené, Cergy, et au Crimt, Montréal., INSA Lyon – Université de Lyon
Chercheur Associé au Laboratoire Printemps, UVSQ/Paris-Saclay, co-président du Groupe d'études et de recherches sur les mouvements étudiants (Germe), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Chercheuse titulaire au Centre de recherches Sociologiques sur le Droit et les Institutions Pénales, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay