Depuis le mois de janvier, les manifestations se multiplient contre la réforme des retraites. Mais s’agit-il de la méthode la plus adaptée pour faire plier Emmanuel Macron et son gouvernement ?
Que restera-t-il de l’unité syndicale une fois la réforme votée, ou abandonnée ? Surtout, le syndicalisme peut-il constituer durablement un acteur décisif sans ancrage renforcé dans les entreprises ?
Le travail est revenu au centre de l’action syndicale depuis les mobilisations de janvier 2023 contre la réforme des retraites mais son sens semble avoir changé.
Au lendemain des élections législatives tunisiennes, le Président Kaïs Saïed, s'est révélé au grand jour : solitaire, obstiné et néanmoins irrésolu et velléitaire.
Le nombre de journées non travaillées a globalement évolué de manière indépendante de la croissance ou du volume d’investissements étrangers en France depuis les années 1970.
À quelques jours du mouvement des syndicats français contre la réforme des retraites, les experts de The Conversation vous proposent un panorama mondial de la mobilisation sociale.
Lucie Enel, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Les chauffeurs Uber doivent gérer seuls le paradoxe entre la rhétorique d’Uber (flexibilité, liberté, autonomie) et leurs conditions de travail parfois difficiles.
Les annonces d’Emmanuel Macron au sortir du second tour incluront-elles un changement dans sa politique de dialogue social et pour l’avenir des syndicats ?
Les ordonnances votées en début de quinquennat ont ouvert la voie à une individualisation de la négociation, affaiblissant ainsi le rôle des syndicats.
Pour lutter contre l’abstention, il convient sans doute de redynamiser les collectifs de travail, d’encourager l’action collective en entreprise et de limiter la précarité de l’emploi.
Professeur du Cnam, titulaire de la chaire Droit du travail et droits de la personne, Lise/Cnam/Cnrs, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Professeur des universités, sociologue de l'entreprise et de la négociation. Chercheur au Centre Max Weber, Lyon. Chercheur associé à Irené, Cergy, et au Crimt, Montréal., INSA Lyon – Université de Lyon
Chercheur Associé au Laboratoire Printemps, UVSQ/Paris-Saclay, co-président du Groupe d'études et de recherches sur les mouvements étudiants (Germe), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Chercheuse titulaire au Centre de recherches Sociologiques sur le Droit et les Institutions Pénales, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay