Le PDG de Dominion, John Poulos, s’exprime le 18 avril 2023, immédiatement après l’annonce du règlement à l’amiable du procès que son entreprise avait intenté à la Fox.
Andrew Caballero-Reynolds/AFP
Le « procès en diffamation du siècle » n’aura pas eu lieu : la Fox a versé une somme colossale à l’entreprise qui la traînait en justice, mettant ainsi fin à la procédure judiciaire.
Les trumpistes attribuent à Vladimir Poutine des qualités similaires à celles de Donald Trump : détermination, virilité, attachement aux valeurs traditionnelles et rejet des « inepties gauchistes »…
Kirill Kudryavtsev/AFP
Au sein du camp républicain, Donald Trump conserve une influence majeure. Comme durant son mandat, et malgré la guerre en Ukraine, il se montre très compréhensif vis-à-vis de Vladimir Poutine…
Des partisans de Donald Trump contestent l'élection de Joe Biden face au Capitole, à Washington, le 6 janvier 2021.
Samuel Corum / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP
Réflexions sur l'état actuel de la démocratie américaine, après quatre ans de mandat tumultueux de Donald Trump et l'élection contestée de Joe Biden.
Kamala Harris prend la parole après avoir visité un site de vaccination contre la Covid-19 au M&T Bank Stadium de Baltimore, dans le Maryland, le 29 avril 2021.
Saul Loeb/AFP
Le rôle central que Kamala Harris, vice-présidente des États-Unis depuis cent jours, joue dans l’administration Biden montre que sa nomination ne se limite absolument pas à sa dimension symbolique.
La jeune poétesse Amanda Gorman lors de l'investiture de Joe Biden, le 20 janvier 2021.
AFP
Nicolle Herzog, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Les insurgés du Capitole et, au-delà, les électeurs de Donald Trump, ne sont pas seulement mus par une angoisse économique mais aussi par la crainte d’un déclassement social, politique et culturel.
La poétesse Amanda Gorman lit un texte lors de l'investiture de Joe Biden, le 20 janvier 2021, au Capitole, à Washington, DC.
Andrew Caballero-Reynolds/AFP
Le monde de la culture américaine est fortement touché par la Covid-19. Si Donald Trump n’a pas apporté de solutions, Joe Biden apparaît comme une source d’espoir pour la sphère culturelle.
Pendant la cérémonie d'investiture de Joe Biden le 20 janvier 2021 à Washington.
AFP
L’analyse textuelle du discours d’investiture de Joe Biden révèle les principaux axes de sa communication à venir, qui sera marquée par une nette rupture avec celle de son prédécesseur.
Le 24 novembre 2020, Antony Blinken, futur secrétaire d'État de Joe Biden, s'exprime devant le président élu qui vient d'annoncer sa nomination.
Mark Makela /Getty Images North America/Getty Images via AFP
Présentation des principaux membres de la nouvelle administration américaine.
Le 14 janvier 2021, la Démocrate Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des Représentants, signe officiellement l'acte d'accusation de Donald Trump.
Stefani Reynolds/AFP
Une seconde procédure de destitution de Donald Trump vient d’être déclenchée. Si les démocrates sont partis confiants, son succès est en réalité compromis par la posture des élus républicains.
Le 6 janvier 2021, Donald Trump s'adresse à ses partisans à Washington. Peu après, des milliers d'entre eux entreront de force au Capitole.
Brendan Smialowski/AFP
Le discours que Donald Trump a prononcé le 6 janvier à Washington, et qui a incité ses sympathisants à investir de force le Capitole, constitue un parfait condensé de sa rhétorique populiste.
Le compte Twitter de Donald Trump, qui était celui qui comptait le plus d'abonnés au monde, a été suspendu le 8 janvier 2020.
Justin Sullivan/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Le bannissement de Donald Trump des principaux réseaux sociaux pose de nombreuses questions, à commencer par celle de la responsabilité qu’ont les plates-formes dans les contenus qu’elles hébergent.
Devant le Capitole à Washington, le 6 janvier 2021.
Bill Clark/CQ-Roll Call, Inc via Getty Images
Clayton Besaw, University of Central Florida and Matthew Frank, University of Denver
Techniquement, la prise du Capitole par des partisans de Donald Trump ce 6 janvier n’a pas été un coup d’État. L’événement n’en révèle pas moins la grande fragilité de la démocratie américaine.
Le Capitole, à Washington, DC.
Drew Angerer/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
La primauté du droit, principe fondamental, a été remise en question tout au long du mandat de Donald Trump, qui a vu une érosion sans précédent des normes non écrites de la démocratie américaine.
Un groupe anti-avortement en prière devant le bâtiment de la capitale de l'État du Michigan, Lansing, le 31 octobre 2020, à trois jours de la présidentielle.
John Moore/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Aux États-Unis, l’appartenance religieuse demeure un facteur explicatif important du vote. L’élection présidentielle de cette année a mis en évidence plusieurs évolutions notables du vote religieux.
Joe Biden à Atlanta, en Géorgie, lors d'un meeting de soutien aux candidats démocrates aux sièges de sénateurs, Jon Ossoff et Raphael Warnock.
Drew Angerer/AFP
On lit souvent que la capacité de Joe Biden à gouverner dépendra de l’issue de la double élection à venir en Géorgie, qui déterminera la couleur politique du Sénat. La réalité est plus nuancée.
Joe Biden promet de « reconstruire l'économie américaine en mieux ».
Brendan Smialowski/AFP
Grâce au contrôle de son parti sur le Sénat, Joe Biden devrait être en capacité d’appliquer un programme économique ambitieux qui conjugue relance verte de l’industrie et protection des travailleurs.
Des partisans de Donald Trump contestent sa défaite à Las Vegas, le 7 novrembre 2020.
Ethan Miller/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Donald Trump a récolté plus de 30 % du vote latino lors de la dernière présidentielle. Un score important qui ne constitue pas pour autant une percée spectaculaire et s’explique par plusieurs facteurs.
Un participant à une manifestation à Philadelphie, le 6 novembre 2020, porte un masque de Donald Trump et une tenue de prisonnier.
Chris McGrath/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Le 20 janvier, Donald Trump redeviendra un justiciable comme les autres. D’ici là, va-t-il continuer de gracier ses proches, comme il a déjà commencé de le faire, et peut-il se gracier lui-même ?
Professeur émérite juriste et américaniste, spécialiste des États-Unis, questions politiques, sociales et juridiques (Cour suprême), Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School
Enseignant au Moravian College de Pennsylvanie, doctorant au Laboratoire Interdisciplinaire De Droit et Mutations Sociales, Aix-Marseille Université (AMU)
Professor in U.S. Politics and U.S. Foreign Relations at the United States Studies Centre and in the Discipline of Government and International Relations, University of Sydney