La Chine semble bien partie pour rebondir malgré les difficultés économiques engendrées par la crise sanitaire. Pour l’UE et les États-Unis, c’est moins certain…
Dans des phases de relance économique, les ménages peuvent anticiper de futures hausses d’impôt et épargner, limitant les ainsi les effets sur la croissance.
La part des PIB consacrée à la relance économique s’annonce 2 à 10 fois plus importante que celle estimée nécessaire annuellement pour accélérer la transition socio-écologique.
Face à la propagation du virus, les États et les organisations supranationales ont opté pour des approches différentes à l’égard de leurs frontières respectives. Tour d’horizon.
La pandémie de Covid-19 incite les Européens à repenser leur rapport aux frontières. Face à la menace de la propagation de la maladie, la frontière doit-elle être un mur ou un filtre ?
Quel parallèle peut-on tracer entre la gestion par les pays de l’espace Schengen de la crise des migrants en 2015 et leur réaction à l’actuelle épidémie sanitaire ?
Les textes comme celui de l’accord de Paris ou de l’ONU restreignent les capacités à mener des politiques ambitieuses. Des pistes peuvent inciter les pays à se mettre d’accord pour aller plus loin.
Auriane Guilbaud, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
L’OMS, la Banque mondiale ou encore l’UE sont engagées dans la lutte contre la propagation de l’épidémie de Covid-19. Il est toutefois regrettable que ces efforts n’aient pas été mieux anticipés.
L’année 2019 a connu une baisse de 1,9 % de la consommation mondiale de charbon. Un tournant lié aux engagements de certains États ainsi qu’à des facteurs conjoncturels.
L’Europe et l’Australie comptent parmi les régions du monde qui attirent le plus grand nombre de migrants. Leurs perceptions de l’immigration sont dissemblables mais se rejoignent en certains aspects.
La Confédération helvétique a déjà négocié des accords avec Londres qui écartent les questions d’harmonisation des normes. Pour Bruxelles, suivre la même voie s’avère toutefois plus compliqué.
Avec le départ des députés britanniques, il ne reste au Parlement européen que des forces favorables à la préservation de l’UE. Le combat politique n’en sera pas moins acharné.
Marc Bidan, Auteurs historiques The Conversation France
Face aux menaces américaines, mais aussi face aux atermoiements européens ou aux stratégies de prédation des géants du numérique, la France se retrouve de plus en plus isolée.
Contrairement à ce qui avait parfois été annoncé, le Brexit n’a pas incité les opinions publiques des 27 États membres de l’UE à réclamer un « Exit » de leur propre pays. Au contraire, même.
Le Royaume-Uni quitte l’UE, mais entend bien continuer d’entretenir avec celle-ci un lien commercial avantageux… tout en développant ses échanges avec le reste du monde.
Européen convaincu, Pompidou favorise les premiers accords franco-britanniques en matière de défense et débloque les négociations menées à Bruxelles à partir de 1970.