Jean-Paul Moatti, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Si les travaux du GIEC sur le climat ont montré la place essentielle du travail des scientifiques, cet apport de la science doit aujourd’hui être étendu au développement durable dans son ensemble.
Les travaux du GIEC ont permis d’établir le caractère indéniable du réchauffement global et la responsabilité de l’homme dans ce processus. Qu’attendre des prochains rapports du GIEC ?
Atelier de recherche des étudiant·e·s du MJMN, 3/5. La chercheuse Marieke Stein analyse les différentes étapes de la polémique sur le gaz de couche en Moselle-Est.
Des maladies touchant les animaux peuvent se transmettre aux humains. C’est le cas de pathologies portées par des parasites. Plus nous perturbons l’environnement plus des cas peuvent se produire.
Sarah Botton, Agence française de développement (AFD) dan Claude Le Gouill, Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3
À l’occasion du 8ᵉ Forum mondial de l’eau qui se tient à Brasilia jusqu’au 23 mars 2018, retour sur la pénurie d’eau qui a frappé La Paz en 2016. Quels enseignements tirer de cet épisode ?
La République micronésienne des Îles Marshall est sur le point de devenir le premier pays à fonder sa monnaie nationale sur une cryptomonnaie. Analyse d’une décision politique absurde.
Alors que s’ouvre ce dimanche 18 mars la 8ᵉ édition du Forum mondial de l’eau au Brésil, son thème, « Partageons l’eau », n’a jamais été autant d’actualité pour les eaux souterraines.
Attendu pour octobre 2018, le rapport des experts du climat sur l’objectif d’un maximum de 1,5 °C de réchauffement soulève de nombreuses questions, notamment sur le rôle des émissions négatives.
Alors que s’ouvre ce samedi la 57ᵉ édition du Salon international de l’agriculture à Paris, retour sur les profondes transformations et défis auxquels doit faire face le secteur agricole français.
La diplomatie scientifique est celle où les intérêts de la science et ceux de la politique étrangère se conjuguent. Un exemple particulier est celui de la diplomatie du climat. Analyse de ses enjeux.
Pour réduire l’impact de son activité sur l’environnement, une entreprise doit prendre en compte non seulement les effets générés par sa production, mais aussi la fin de vie de ses produits.
Présenté le 7 février 2019, le projet de loi énergie-climat du gouvernement français substitue la division par 4 des émissions de gaz à effet de serre par la neutralité carbone à l’horizon 2050.
Améliorer l'efficacité énergétique, diminuer les émissions de gaz à effet de serre et faciliter la décentralisation du secteur électrique sont les trois priorités les plus pertinentes.
Dans la lutte contre les dérèglements climatiques, les entreprises ont un rôle crucial à jouer. Il passe par la mise en place d’une organisation et d’une production soucieuse des impacts écologiques.
Outre-Atlantique, la mise en place de la co-combustion dans les centrales a charbon fait son chemin. Mais les bénéfices de ce développement ne peuvent s’envisager qu’à court terme.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)