Cette année sera décisive pour les négociations climatiques avec la parution du nouveau rapport du GIEC à l’été et la tenue de la COP24 en Pologne en décembre prochain.
Reconnue aux États-Unis, la « fiction climatique » reste encore discrète en France. Passer par le récit semble pourtant efficace pour éveiller les consciences aux dangers climatiques.
Le climat que les Terriens connaîtront vers 2050 sera largement déterminé par le cumul des émissions que nous avons déjà envoyé dans l’atmosphère. Étude de trois scénarios.
Le projet de pacte mondial pour l’environnement propose d’aller plus loin que l’Accord de Paris en matière de droit international de l’environnement, en consacrant le rôle des acteurs privés.
La très attendue réforme du marché du carbone européen, décidée le 9 novembre 2017, pourra-t-elle relancer ce dispositif prévu pour accompagner la transition énergétique ?
Nos solutions techniques ne sont pas des solutions miracles. C’est particulièrement vrai dans le domaine de l’énergie et encore davantage dans celui du changement climatique.
Malgré la volonté de Washington de sortir de l’Accord de Paris, plusieurs États américains se mobilisent pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Arrêter de brûler charbon, pétrole et gaz naturel pour se tourner vers un développement économique « bas carbone », tel est le défi de la transition énergétique engagée ces dernières années.
Si les dernières décennies ont été marquées par un développement économique chinois indifférent aux questions environnementales, les choses changent dans l’empire du Milieu.
Souvent considéré comme un frein à la lutte contre le changement climatique, le secteur privé a pourtant profondément changé d’attitude à l’égard du climat et des risques associés.
Ian Cochran, Agence française de développement (AFD) dan Benoît Leguet, Agence française de développement (AFD)
En 2016, 32 milliards d’euros ont été investis en faveur du climat en France. Si ces investissements progressent, ils ne sont pas suffisants pour soutenir le développement d’une économie bas carbone.
Les rencontres sur le climat se succèdent mais les résultats se font attendre. Le « One Planet Summit » pourrait s’inspirer du Protocole de Montréal pour mettre la finance au service du climat.
Sébastien Barot, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Des sols grignotés par le béton ou épuisés par des pratiques agricoles trop intensives… La grande richesse des milieux souterrains doit être mieux connue et mieux protégée.
Tout étudiant entrant dans le cycle d’études supérieures devrait être familiarisé avec un état des lieux énergétique, climatique et démographique de la planète.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)