Digne d’un thriller, cette affaire suscite des débats passionnés et de fortes interrogations aux États-Unis, mais aussi de l’inquiétude dans plusieurs pays européens.
À l’approche de la fin du mandat du président Kabila et suite au report du scrutin, la communauté internationale retient son souffle. Mais le risque d’explosion n’est pas forcément là où on l’attend.
Le décompte final des voix révèle qu’Hillary Clinton a gagné le vote populaire avec une avance de 2,68 millions de voix. De quoi relancer le débat sur le système électoral américain.
Jamais un président élu achevant son mandat avec une majorité parlementaire n’a été réélu. Une étrange malédiction qui éclaire aussi la non-candidature de François Hollande.
Si l’Autriche n’est évidemment pas à la veille d’un retour à l’ère nationale-socialiste, ce scrutin a une portée considérable pour la politique de ce pays-clé en Europe centrale.
Nul doute que si François Hollande offre aux électeurs de mettre sa tête sur le billot de la primaire, certains viendront faire tomber le couperet avec la même délectation que pour Nicolas Sarkozy.
Nous entrons dans une nouvelle ère dont nous ne connaissons ni les fins ni la fin. Elle n’est pas maîtrisable, même par les créatures qu’elle fait naître.
Le manque de participation des électeurs issus des minorités et l’ignorance des souffrances d’une partie de l’Amérique blanche auront contribué à l’élection de Donald Trump.
Pascal Moliner, Université Paul Valéry – Montpellier III
Comment l’incroyable a-t-il pu se produire ? L’élection de Donald Trump était-elle aussi imprévisible qu’il y paraît ? Les recherches sur le phénomène de « zone muette » suggèrent le contraire.
Après la war fatigue qui avait saisi le pays à l’issue de la période néoconservatrice de George W. Bush, le risque d’une world fatigue est grand, après l’ouverture au monde de Barack Obama.
L’enquête sur l’affaire des e-mails d’Hillary Clinton est relancée, alors que l’écart s’est à nouveau resserré au niveau national entre les deux principaux candidats.
La France de 2022 sera-t-elle totalitaire ? Le 2ᵉ tome du roman graphique signé François Durpaire et Farid Boudjelall est un exercice de politique-fiction qu’il s’agit de prendre au sérieux.
Lors du troisième et ultime échange entre les deux candidats, Donald Trump a menacé de ne pas reconnaître son éventuelle défaite, accusant le camp démocrate de fraudes.