L'université de Bourgogne en chiffres
- 6 campus en Bourgogne (Auxerre, Chalôn-sur-Saône, Dijon, Le Creusot, Mâcon, Nevers)
- 27 500 étudiants dont 2 800 étudiants de nationalité étrangère venant des 5 continents
- Plus de 400 formations dont 33 co-habilitées avec l'Université de Franche-Comté
- Plus de 12 000 diplômes délivrés
- 8 Unités de Formation et de Recherche (UFR), 1 Ecole Supérieure du Professorat et de l'Education (ESPE), 3 Écoles, 4 Instituts
- 29 unités de recherche labellisées et 4 écoles doctorales
- 2 900 agents salariés dont 1 550 enseignants et enseignants-chercheurs et 1 350 agents bibliothécaires,
ingénieurs, administratifs, techniciens, ouvriers, de services sociaux et de santé
- 16 bibliothèques proposant 760 000 documents imprimés et 35 000 abonnements électroniques
- 130 associations étudiantes
La querelle autour de la proportionnelle est aussi ancienne que la République : les jugements positifs ou négatifs sont fonction des circonstances, des intérêts partisans et des positions idéologiques.
Sans corps institué, sans tête identifiée, sans vertèbres idéologiques, ce mouvement insaisissable s’infiltre dans les fondations fissurées de notre vieille démocratie représentative.
La disparition des cellules d’adhérents dans les entreprises et territoires est la cause principale du divorce avec une bonne partie de la population et d’un a-syndicalisme chez les jeunes.
Seize mois après la stupéfiante élection de 2017, le macronisme est-il malade de Macron lui-même qui ne serait pas à la hauteur des espérances qu’il a suscitées ?
Le rétablissement en 2008 du droit d’intervention du Président devant les chambres, complété par la proposition de Macron, constitue un spectaculaire renversement des bases du régime parlementaire.
Le pari d’Emmanuel Macron était de poser les bases d’une réconciliation fructueuse. Il est encore loin d’avoir été tenu, et l’image d’un « Président des riches » sanctionne un déséquilibre flagrant.
On autre aspect de la loi ORE, passé totalement inaperçu, concerne les conditions de vie étudiante. Les CROUS médecins malgré eux de la condition estudiantine.
La bataille du rail en France, c’est avant tout celle des chiffres qu’il s’agisse du coût du transport ferroviaire pour la collectivité, de la performance ou encore des prix des billets de train.
Les événements de février 1848 conduisent, dans les mois qui suivent, à des débats houleux concernant le « droit au travail » entre penseurs socialistes et conservateurs sidérés.
Cinquante ans après la loi d’orientation de 1968, le système des œuvres universitaires semble désuet, inadapté aux contraintes actuelles et non sans incidences sur le mal-être étudiant.
Plutôt qu'un parangon de la culture populaire, Johnny Hallyday est le symbole du divertissement, élevé au rang d'art par les politiques publiques depuis les années 1980.
Emmanuel Macron a bénéficié d’opportunes circonstances, avec l’auto-implosion d’un système partisan discrédité. Mais la chance ne suffit pas à expliquer une mutation politique spectaculaire.
Quel meilleur visage que celui d’Hermès au parfum sulfureux pour signifier la rupture intervenue dans l’engagement français sur le champ culturel en ce début de XXIᵉ siècle ?
Quand leur enfant est menacé ou humilié par d’autres élèves, les parents demandent que les harceleurs soient punis. Et si la solution consistait à mieux l’armer pour l’aider à se faire respecter ?
Maître de conférences HDR en sociologie de la culture et du patrimoine, Département Denis Diderot, laboratoire LIR3S (UMR 7366), Université de Bourgogne