90 % des infarctus qui surviennent chaque année dans notre pays sont considérés comme évitables. À condition de respecter certaines règles d’hygiène de vie, en particulier concernant l’alimentation.
Si de nouvelles technologies d’étude apparaissent, elles ne permettent toujours pas de comprendre pourquoi les microorganismes jouent un rôle tantôt positif, tantôt négatif, dans l’alimentation.
En terme de santé, la composition des aliments ne fait pas tout : leur structure est également importante. Pressés, broyés ou pilés, fruits et céréales n’ont plus les mêmes effets.
Soumis à de nouvelles contraintes, le plastique constitue un défi de taille pour les industriels. Pour lutter contre le suremballage, le recyclage ne suffit pas.
Les consommateurs baseraient leurs choix sur des opérations mentales rapides et intuitives. Fort de ce constat, les pouvoirs publics sont en train de changer leur approche de l’étiquetage alimentaire.
L’économie comportementale nous apprend que nos choix peuvent être influencés par certaines incitations « invisibles », les nudges. Quels sont les plus efficaces pour orienter notre alimentation ?
On prête au thé, et notamment au thé vert, d’innombrables vertus. Il serait même capable de prévenir le cancer. Pourtant, cet effet n’a jamais été mis en évidence chez l’être humain…
Lisa Oberlander, Paris School of Economics – École d'économie de Paris and Ximena Játiva, University of Fribourg
Comprendre dans quelle mesure et de quelle façon les consommateurs réagissent aux changements climatiques peut limiter les conséquences négatives d’une mauvaise alimentation sur la santé publique.
On savait la consommation d’aliments ultra-transformés associée au surpoids et à l’obésité, à divers cancers, à la dépression… À cette triste liste s’ajoutent désormais les maladies cardiovasculaires.
L’huile d’olive jouit d’une excellente réputation. À raison, car même si les chercheurs planchent encore pour comprendre le rôle précis de ses nombreux constituants, ses vertus sont bien réelles.
Les géants de l’agro-alimentaire sont en lutte contre le Nutri-score. Si la défection récente de Nestlé est un coup dur pour elles, seule une révision de la loi protégerait vraiment les consommateurs.
Les millennials ont dopé la consommation de rosé : rien qu’aux États-Unis, 65 % entre eux se déclarent « buveurs de rosé ». Comment expliquer ce succès global ?
Moralscore.org, une start-up qui propose de banaliser l’éthique comme critère de choix interroge la place des industriels dans la transition alimentaire.
Près d'un milliard de personnes souffrent de malnutrition chronique dans le monde, sans compter l'impact du réchauffement climatique. Parmi les solutions possibles : manger des insectes.
Nous avons pris l’habitude de voir nos aliments comme une somme de nutriments, ouvrant la voie à leurs alter-egos ultratransformés. Pour revenir à une alimentation saine, changeons de point de vue.
Un nombre croissant d’études pointe les effets néfastes de la consommation d’aliments ultratransformés sur la santé. Mais sauriez-vous les reconnaître dans les rayons des supermarchés ?
Dans le dernier numéro de « PuMS », Boris Hansel et son équipe démêlent le vrai du faux à propos du cholestérol, en s’appuyant sur les dernières découvertes scientifiques.
Plusieurs études ont prouvé que les gens qui mangent beaucoup de fromage ne risquent pas plus que les autres de développer une maladie cardiovasculaire.
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Directrice de recherche honoraire. Coordinatrice du Réseau National Alimentation Cancer Recherche (réseau NACRe) de janvier 2000 à septembre 2020, Inrae
Maitre de Conférence Université Paris 13, Praticien Hospitalier, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm
Médecin nutritionniste, Directrice de Recherche INRAe, Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm, Université de Paris, Université Sorbonne Paris Nord, Cnam, Inrae